• Les 13 crânes de cristal

    crist1.gif

    Selon une vieille légende indienne, il existe 13 crânes de cristal, dont on raconte qu'ils parlent ou qu'ils chantent. Ces crânes, dit-on, renferment d'importantes informations sur les origines de l'humanité, sur sa finalité et son Destin... Un jour, si l'on en croit ces prophéties ancestrales, tous les crânes de cristal seront réunis pour que l'humanité puisse accéder à la sagesse collective. Si l’homme continue a prendre à la Terre sans rien lui rendre en échange, le quatrième monde ou cinquième soleil, qui doit prendre fin le 21 décembre 2012, sera le dernier.

     

    Liste des crânes de cristal:

     

     

    Le crâne du destin
    Le crâne de Londres (ou du British Museum)
    Le crâne de Paris

    Le crâne de la Smithsonian Institution
    Le crâne de cristal de Sha-Na-Ra
    Le crâne de cristal synergie
    Le crâne du Texas, ou « Max »
    Le crâne « Mayan »
    Le crâne «E.T.»
    Le crâne d'améthyste ou ami
    • Le crâne à la croix reliquaire
    • Le crâne de cristal rose

    " La tradition maya nous enseigne que, lorsque " le treizième Crâne de Cristal " sera découvert, le " Secret de la Vie " sera révélé.

    Or, en 2003, et ce, grâce à des documents d'origine " templiste " datant du XIIIème siècle, j'ai été le témoin oculaire de l'invention-découverte d'un " Crâne de Cristal " enfoui en Terre provençale. Ces documents appartiennent à un groupe de personnes qui forment un cercle très secret, et je suis tenu à la plus grande réserve quant à leur identité. Jusqu'à présent, pour diverses raisons, cette information ne circulait qu'au travers du philtre restreint de ce cénacle. Cependant, suite à certaines récentes découvertes, le temps semble venu de la partager avec un plus large public.

    Il est important de savoir que le crâne découvert récemment est bien " LE TREIZIÈME ". Effectivement, depuis sa découverte, de très importantes révélations au niveau de la géographie sacrée de notre planète, initiées avec des enseignements d'Entités Stellaires, ont été offertes en évidence. Cette géographie sacrée fait apparaître qu'un vaisseau vibratoire/merkaba a intégré la Terre provençale, il y a de cela de très nombreux siècles, et par effet de proximité, il a provoqué une induction initiatique générant un " effet Génésis ", ainsi que l'installation programmée d'une grille christique conscientisée par le travail spirituel de cœurs oeuvrant pour que le Plan de Lumière s'établisse sur notre Terre Mère, (ce qui pourrait expliquer la venue en Provence de la grande Initiée Sainte Marie-Madeleine.)

    Tout laisse à penser qu'un Plan intemporel a été préparé par des Initiateurs issus d'univers parallèles, et cela en vue de sa réalisation durant l'Ère du Verseau, d'où la teneur des prophéties des Mayas, peuple initié qui devait sans aucun doute connaître cette véritable "Révélation de l'Apocalypse".


    2 commentaires
  • Saint Georges et le dragon

    Photobucket

    En ce temps là, un dragon terrorisait les habitants de la ville de Sylène en Lybie.

    Peu à peu, personne n'osa plus ni sortir ni entrer. En quelques mois, le commerce périclita et la famine menaça tout le monde.

    Le dragon exigea bientôt que des jeunes gens lui soient sacrifiés. Tout le monde acceptait ce lourd tribut dans l'espoir que le dragon allait se lasser.

    Hélas, un jour une nouvelle stupéfiante fit le tour de la ville : le monstre exigeait qu'on lui offrît la fille du roi.

    Et par un petit matin, la belle princesse Aïa fut livrée au dragon. Satisfait, il l'entraîna aussitôt vers son repaire.

    Le même jour, vint à passer un jeune chevalier nommé Georges. Il apprit la triste nouvelle. N'écoutant que son courage, Georges lança son cheval au galop en direction des marais où le dragon s'apprêtait à dévorer son innocente proie.

    Guidé par des traces bien visibles, il arriva juste à l'instant où le dragon ouvrait sa gueule pour engloutir Aïa. Georges poussa son cri de guerre.

    Surpris le dragon fit face à cet adversaire. Georges chargea avec vigueur et toucha l'animal. Il le blessa mais rompit sa lance. Il l'affronta alors à pied, l'épée à la main. Il blessa de nouveau le monstre mais celui paraissait indestructible.

    Le combat semblait sans issue quand Georges invoqua l'aide d'un dieu inconnu de la princesse : le dieu des chrétiens. Il fit une dernière attaque qui tua net le dragon.

    La princesse n'en croyait pas se yeux. Les habitants de Sylène laissèrent libre cours à leur joie. Comme le roi lui demandait ce qu'il voulait comme récompense, le jeune homme déclara qu'il souhaitait que les habitants adoptent le nouveau dieu et donc qu'ils reçoivent le baptême.

    Ce fut accompli dés le lendemain et par la même occasion Georges épousa la princesse. Il devint le protecteur de la ville désormais prospère.


    votre commentaire
  • Origine du mot "chat"

    Photobucket

    Avant de s'appeler "chat", notre gentil animal domestique a porté bien d'autres noms.

    En Egypte, dont il semblerait qu'il provient, le mâle est appelé "myeou", sans doute pour le désigner par le son de son miaulement. La femelle, elle, est appelée "techau" (on a pu retrouver ce mot sur les statuettes funéraires).

    De nos jours, il existe une espèce de chat sauvage en Asie tropicale et en Afrique du nord appelé Felis Chaus.

    Les Grecs l'ont appelé "galé" et les Romains "felis".

    C'est au Moyen Âge qu'apparaît le mot "cattus", sans doute d'origine africaine ou orientale, les Nubiens appelant le chat "kadis" et les Syriens "gato".

    Ce n'est qu'en 1175 qu'on « appelle un chat un chat » en France.


    votre commentaire
  • Les Chats & l'arche de Noé

    Photobucket

    Les chats ne figurent pas parmi les animaux que Noé embarqua sur son arche. En revanche, rats et souris s'yreproduisaient si bien qu'ils envahirent le navire, leurs agaceries tourmentant les autres animaux : l'une des souris avait grimpé sur la tête de la girafe et s'était proclamée vigie du bateau, une autre parvient même à se glisser dans la trompe d'un éléphant...qui, depuis cette aventure, a une peur irraisonnée des petits rongeurs ! Les animaux vinrent se plaindre à Noé, qui tint aussitôt conseil avec leur roi, le lion. Celui-ci éternua à deux reprises et deux lions miniatures sortirent de ses narines et s'élancèrent aussitôt à la poursuite des souris, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un couple de chaque espèce de rongeurs. Mais le mauvais caractère du chat (mini lion) contraignit Noé à le maintenir attaché sur le pont lors d'une tempête. C'est de cette épreuve que découlerait la peur de l'eau de nos amis félins.




    Une autre légende affirme que la lionne délaissée par son royal mari fauta avec un singe. Le lion entra dans une colère folle, mais Noé parvient à le calmer : les félins engendrés resteraient de petite taille ; en compensation ils allieraient le courage du lion à l'esprit inventif du singe.




    Une autre légende explique que le chat était en retard pour monter dans l'Arche qu'avait construite Noé. Il arriva juste au moment où Noé ferma la porte et sa queue y resta prise de sorte qu'elle fût coupée. Ce petit chat sans queue est aujourd'hui appelé le Chat de l'Ile de Mans


    votre commentaire
  • Comment le corbeau est devenu noir

    Photobucket

    Il y a très, très longtemps, quand la terre et ses habitants étaient encore jeunes, les corbeaux étaient tous blancs comme neige. En ce temps-là, les hommes n'avaient ni chevaux, ni fusils, ni armes en métal. Mais ils dépendaient pourtant de la chasse au bison pour manger et survivre. Il était difficile, aléatoire et dangereux de chasser le bison à pied, avec des armes à pointe de pierre.

    Les corbeaux rendaient les choses encore plus difficile aux chasseurs, car ils étaient les amis des bisons. Ils montaient très haut dans le ciel, au-dessus de la prairie, d'où ils pouvaient voir tout ce qui se passait. A chaque fois qu'un chasseur s'approchait d'un troupeau, les corbeaux volaient jusqu'à leurs amis, et, se perchant entre leurs deux cornes, ils les mettaient en garde « Croa, croa, croa, chers cousins, voici venir des chasseurs. Ils sont en train de ramper dans le ravin qui est là-bas. Ils sont derrière cette colline. Attention ! Croa, croa, croa! » en les entendant, les bisons s'enfuyaient au galop, et alors, les gens mouraient de faim.

    Les hommes se réunirent donc en conseil pour décider quoi faire. Parmi les corbeaux, il en était un énorme, deux fois plus gros que tous les autres, qui était leur chef. Pendant le conseil, le vieux sage se leva et suggéra ceci : « il nous faut prendre le grand corbeau blanc et lui donner une bonne leçon. Nous n'avons que cette solution, ou bien nous allons continuer à avoir faim » Il prit une grande peau de bison, entière, avec la tête et les cornes, et il la posa sur les épaules d'un jeune brave, en disant : « mon neveu, glisse-toi parmi les bisons. Ils te prendront pour l'un des leurs, et ainsi tu pourras capturer le grand corbeau blanc »

    Ainsi déguisé en bison, le jeune homme se faufila au milieu du troupeau et fit semblant de brouter. Les grands animaux hirsutes ne lui prêtèrent pas la moindre attention. Ensuite les chasseurs quittèrent leur campement et le suivirent, leur arcs tous prêts. Comme ils s'approchaient du troupeau, les corbeaux s'en vinrent, comme d'habitude, prévenir les bisons : « croa, croa, croa, chers cousins, les chasseurs viennent pour vous tuer. Gardez-vous de leurs flèches. Croa, croa, croa ! » Et, comme d'habitude, tous les bisons de s'enfuir au galop....... Tous, sauf bien sûr le jeune chasseur sous sa peau hirsute, qui faisait semblant de continuer à brouter.

    Le grand corbeau blanc vint donc se percher sur les épaules du chasseur, et battant des ailes, il lui dit « Croa, croa, croa, mon frère, es-tu sourd ? Les chasseurs sont tout près, juste de l'autre côté de la colline. Sauve-toi ! » Mais, à ce moment-là, le jeune chasseur laissa tomber sa peau de bison et s'empara de grand corbeau en le saisissant par les pattes. Puis il prit un lien de peau, lui attacha les deux pattes ensemble et attacha l'autre extrémité à une grosse pierre. Le corbeau se débattait tant qu'il pouvait, mais en vain.

    Les hommes de nouveau tinrent conseil. « qu'allons-nous faire de ce sale corbeau, qui nous a affamés tant de fois ? Je vais le brûler ! « s'écria un chasseur en colère. Et avant qu'on ait pu faire le moindre geste, il arracha le corbeau des mains du jeune chasseur et le plongea dans le feu du conseil, avec sa pierre et sa lanière de cuir. « ça t'apprendra ! » lui dit-il.

    Bien entendu, le lien qui l'attachait à la pierre brûla complètement presque tout de suite, et le grand corbeau réussit à s'envoler. Mais il était un peu roussi, et certaines de ses plumes étaient carbonisées. Il était toujours aussi gros, mais il n'était plus blanc. « croa, croa, croa ! « cria-t-il en s'envolant du plus vite qu'il pût. Jamais je ne recommencerai ; je n'avertirai plus les bisons, Je vous le promets ! Croa croa croa ! »

    C'est ainsi qu'il réussit à s'échapper. Mais, depuis ce temps-là, tous les corbeaux sont


    votre commentaire
  • Le serpent à plume

    Photobucket

     
    Le dieu et roi légendaire Quetzalcóatl, dont le nom signifie le Serpent à plumes, sera adoré par les Toltèques aux alentours du Vème siècle.

    Cette divinité de la Fertilité (ce dont attestent les statues érigées à Teotihuacan), associée à la végétation puis à la planète Vénus, sera ensuite apparentée à l'étoile du matin et du soir vers le IXème siècle.
    Les premiers sacrifices, non humains à l'origine, apparaîtront progressivement dans son culte.

    Les Aztèques, qui le choisiront comme premier des prêtres entre les XIVème et XVIème siècles, en feront le protecteur des artisans et des livres, ainsi que le symbole de la mort et de la résurrection.

    Selon la légende, Tezcatlipoca, divinité antagoniste du Ciel nocturne, aurait chassé Quetzalcóatl de Tula, la capitale toltèque. Le roi aztèque Moctezuma II accueillera à bras ouverts le conquérant espagnol Cortés, débarqué en 1519, pensant avoir affaire au Serpent à plumes dont le retour était annoncé par une prophétie

    votre commentaire
  • Les esprits de la nature

    Photobucket

    Les fées et les esprits de la nature habitent la matière et les éléments qui la composent: la terre, l'eau, l'air et le feu.
    C'est pourquoi ils sont fréquemment appellés les élémentaux ou "élémentals".
    Ils sont en quelque sorte esprits gardiens de la nature, ils veillent sur la croissance des animaux et des plantes, composent la part spirituelle de la terre, des pierres, des rivières ou du vent.
    Ces esprits ne sont pas totalement invisibles; ils ont un corps fait de pure énergie lumineux qui se fond avec l'environnement naturel dont ils adoptent la forme et la couleur.
    C'est pourquoi il est si difficile de les voir.
    La matière dans laquelle les esprits peuvent se manifester s'appelle l'éther.
    L'éther est un monde dans lequel les manifestations vibrent sur une fréquence qui n'est pas, en général, visible, audible, palpable pour les sens des hommes.
    Paracelse, médecin, alchimiste et théosophe, publia la première classification des esprits.
    C'est de lui que nous vient la notion des "esprits élémentaires", c'est à dire des esprits que la croyance populaire fait présider aux quatre éléments, vivant en eux et les gouvernant.

     
    Les esprits de l'eau sont les nymphes, ondines, nixes, sirènes et néréides.
    Leurs pouvoirs sont liés à la fécondité, à la séduction, à l'érotisme eélémentauxsion.

    Les élémentaux de l'air sont la demeure des sylphes et des elfes.
    Ces derniers font d'excellents musiciens.

    Les élémentaux de la terre sont traditionnellement les gnomes et les nains.
    Ils sont menteurs, amoureux des femmes et gardiens des trésors.

    Les esprits du feu sont les salamandres, or l'élément feu est le plus subtil et le plus mystérieux des quatre.
    Elles incarnent le feu divin, le feu de l'illumination et de l'éveil.
    Tous ensemble, ils forment les esprits de la nature.

    votre commentaire
  •  

     

    Les Nymphes sont tout d'abord exclusivement des divinités ou des esprits féminins, aucune Nymphe n'est du sexe masculin. Elles sont les filles des Dieux Grecs, selon certains récits, les premières Nymphes qui virent le jour furent les Océanides, nymphes des eaux terrestre souterraines, mais l'arbre généalogique des Dieux montrent que ce sont les Méliades, nymphes des frênes, qui seraient les Premières Nymphes, nées du sang d'Ouranos, le Dieu du Ciel et du sang de Gaïa, la Terre-Mére, mais peu de documents permettent d'approuver cette explication. Les points communs de toutes les Nymphes sont le fait qu'elles sont toutes d'une grande beauté et qu'elles vivent pour protéger un élément de la nature, souvent la Mer et les Forêts, elles prédisent aussi l'avenir. On compte Sept types de Nymphes.

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>les nymphes 

     

    Bienveillantes, généreuses, gaies, enjouées, on leur prête un caractère d'enfant. Mais elles sont capables aussi de colères, de grandes tristesses, de jalousies et de mourir d'amour.
    Protectrices de la nature et de la flore. Génies de l'abondance et de la fécondité, les eaux des fontaines nymphées ont des vertus génératrices, purificatrices et curatives.
    Leurs tailles sont diverses, mythe vivant de la beauté et de la grâce éternelle, elles sont l'image de la femme idéale dans l'imaginaire amoureux des mortels. Elles sont la rondeur lumineuse et déferlante de la vague l'espièglerie naïve des sources, la maturité juteuse de la pomme et la fraîche acidité des cerises.
    Chacune habite le lieu qu'elle entoure de ses soins : une fleur, un arbre, un bosquet, une caverne, une source, une fontaine, un fleuve, une montagne. Les anciens les vénéraient. Elles mangent la sève de la vie.
    Les Nymphes dont le nom signifie "femmes fécondes" sont des divinités antiques secondaires personnifiant les forces vives de la nature. Elles veillent plus particulièrement sur les eaux thermales. D'apparence féminine, elles sont associées à l'érotisme, la sensualité et la sexualité, au point d'avoir inspiré le terme "nymphomane". On les représente souvent nues, ou demi nues, tenant entre leurs mains une coquille ou une urne d'où s'échappe l'eau de la source à laquelle elles président. "L'heure des Nymphes", cinquième heure du jour (soit onze heures du matin), est traditionnellement l'heure du bain.

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete> <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>néréide 

     

    Les Néréides sont les Nymphes de la Mer réputées pour leur grande beauté, parfois considérées comme l'incarnation des Vagues. Elles vivent au fond des flots, dans un palais sous-marin empli de lumière, mais montent parfois à la surface, où elles jouent parmi les vagues en compagnie de tritons ou chevauchent des dauphins.

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>la dryade 

     

    Belles et intelligentes, les dryades sont les nymphes des arbres. Les légendes disent qu'elles sont l'âme de très vieux chênes auxquelles elles sont attachées à vie. Ainsi, si une dryade s'éloignait trop de son arbre, elle perdrait ses forces et mourrait. De même si l'arbre qu'elle habite venait à être meurtri, la dryade en serait également blessée. Les dryades ont leur propre language. Cependant, elles comprennent et parlent aussi celui des êtres humains. Elles sont également capable de parler aux plantes. Les dryades ont aussi un puissant pouvoir de charme sur les hommes, si un homme se laisse séduire par une dryade, cette dernière l'enlève et l'emmène dans sa demeure où il devient son esclave aimant et dévoué.

    Ses yeux peuvent être violets, vert sombre ou couleur d'ambre. En harmonie avec les saisons et la nature, sa peau et ses cheveux changent de couleur et lui permettent de se camoufler. En automne sa chevelure devient rousse ou dorée et sa peau bronzée, fonce. L'hiver elle devient entièrement blanche telle que la neige alentours et au printemps, sa peau redevient bronzée et sa chevelure prend la teinte des feuilles des chênes dont elle aime s'entourer.


    votre commentaire
  • la nixe <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    La nixe est une forme d'ondine particulièrement maléfique car elle prend l'apparence fatale d'une femme merveilleuse bien réelle qui vient séduire les jeunes hommes lors des bals nocturne. On reconnaît la nixe au bas de sa robe qui demeure mouillé. Mais le garçon enchanté n'a souvent pas l'idée dans tâter l'ourlet et se retrouve vite pris au piège des eaux où elle l'entraîne jusqu'à la mort.


    votre commentaire
  • tréant  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    Ces arbre-créatures misérables étaient par le passé les défenseurs fiers et immortelle de la forêt d'Ashenvale. Cependant, quand la région brûlante a envahit le monde longtemps après, ses énergie démoniaques ont corrompu plusieurs des homme-arbres antiques et les ont conduits dans l'ombre. Maintenant, ces créatures torturées vivent pour écarter seulement la corruption et la haine de tout être vivant.


    votre commentaire
  •   <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete> <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

     

    Le kirin est un animal fabuleux de la mythologie chinoise. Il est souvent appelé licorne dans les langues occidentales. Il ne réside que dans les endroits paisibles ou au voisinage d'un sage. En découvrir un est donc un bon présage. On lui prête aussi le pouvoir de donner un fils talentueux.


    votre commentaire
  •   <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete> <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    Son corps et sa queue sont ceux d'un lion tandis que ses ailes et sa tête son ceux d'un aigle. Cet animal a la réputation d'une extraordinaire puissance (on le dit capable d'emporter un cheval et son cavalier dans ses puissantes serres).


    votre commentaire
  • vouivre  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    C'est un serpent ailé dont le corps est recouvert de feu. Elle a sur le front un oeil unique, diament luminescent qui éclaire et qui projette une vive lumière que l'on voit de très loin. Lorsqu'elle se montre en femme, elle est très belle mais tout autant redoutable que sous son aspect de dragon.

    La nuit, elle traverse les airs en battant bruyamment des ailes, guidée par l'escarboucle lumineuse qui lui sert de regard. Le jour, elle reste à dormir, lovée au fond d'une caverne, puit descend vers la rivière pour se baigner. Tantôt elle vole jusque- là, s'ébroue et bat des ailes comme le font les oiseaux.

    D'autre fois elle se coule dans les flots avec sa peau d'écaille et sa queue ondoyante, mais le plus souvent elle préfère se dépouiller de ses fabuleux atours afin de sentir la fraîche caresse des eaux contre son corps nu.

    Dans l'herbe, à l'abri des regards, elle cache sa parure serpente et dépose dessus l'oeil précieux. Combien sont venus l'épier, attendre cet instant pour lui voler son bien. Le maraud n'a qu'à tendre le bras pendant que la serpe s'éloingne d'une brasse argentée attrapper le bijoux et s'enfuir.

    On dit que, privée de cette escarboucle, la vouivre ne voit plus rien. Il n'a pas encore refermé les doigts sur la pierre qu'un horrible sifflement le glace jusqu'au os. Il voit surtout les dents pourléchées par une langue bifide et au millieu de front de la bête, son visage convulsé de terreur que les milles facettes du diament déchire en morceaux.


    votre commentaire
  • déesse de la nature  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>déesse de la justice <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps> <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

     j <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    <p-bas-de-page></p-bas-de-page> <p-bas-de-page></p-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page><span-bas-de-page></span-bas-de-page>

     

    <h3-en-tete></h3-en-tete> <h3-en-tete></h3-en-tete>déesse du monde  <div-contenu></div-contenu> <div-contenu></div-contenu> <div-corps></div-corps> <div-corps></div-corps>

    déesse

    Cette belle femme est la déesse du monde : la terre est entre ses mains. Elle brille de milles feux, doée de toute parts, tel un lingot d'or. Ses yeux turquoise et sa bouche finement dessinée, sont sans expression. Pour la rendre encore plus belle et majestueuse, une magnifique perle de verre est fixé au sommet de son front.


    votre commentaire
  • TAILLE :
    Il est petit et grand à la fois, d'un demi-pouce à trente centimètres.

    ASPECT :
    Il est unique et multiple à la fois, visible et invisible, propret mais sale nez et oreilles pointues. Mince et harmonieux. Oeil pétillant et rond comme une noisette. Doigts longs, agiles. Cheveux abondants et touffus. Il commence à vieillir vers trois cents ans. La barbe pousse et s'allonge en même temps que le crâne se dégarnit, et leur menu visage tout en pommettes et presque sans menton se fripe comme une vieille pomme réjouie. Prend du poids et du bedon avec l'âge.

    VÊTEMENTS :
    Haillons coquets de couleur verte et brune. Très grand bonnet pointu rouge ou vert . Poulaines rapiécées. Ils aiment courir tout nus dans la forêt. Si en échange de leurs services on leur offre des habits neufs, vexés, ils ne reviennent plus jamais. En été ils portent des justaucorps au suc des feuillages.

    NOURRITURE :
    Ils sont gourmands et reprennent dix fois de tout.

    ACTIVITES :
    Les Lutines, plus précisément les Lupronnes, aiment à prendre l'apparence de simples belettes, elles traversent des sentiers devant les promeneurs puis les narguent en faisant mille grâces et couperous. Is on vante leur joliesse, ravies, elles se rengorgent et envoient des baisers.
    Les Lutins ne tiennent pas en place. S'ils ne travaillent pas, ils s'amusent beaucoup et se reposent rarement. Il est fréquent de les voir au fil des ruisseaux sur les radeaux des nénuphars, mais ils ne plongent jamais dans l'eau, comme le prouve leur visage toujours un peu sale.
    Le Bona, lutin d'Auvergne, se plaît à emprunter l'aspect d'un cabrettaïre. Malgré tous ses magiques efforts pour grandir, il n'a jamais réussi à passer la taille d'un pied de quarante-deux centimètres. Les Chorriquets, Bonâmes, Penettes, Gullets, Boudig, Bon Noz s'occupent surtout du bétail et des chevaux.
    Les lutins sont de très ingénieux teinturiers, ils connaissent les propriétés colorantes des écorces et les petits habitants du royaume forestier viennent fréquemment leur porter leurs habits pour les teintures de saison...
    Mais leur activité principale est d' “enlutiner” !

    HABITAT :
    Ils vivent dans des lutinières aussi grouillantes que d'immenses termitières, mais dans lesquelles le jeu et les cabrioles remplacent le travail. Elles sont bâties en dur, avec une espèce de torchis à base de glaise, de mousses et d'herbes parfumées, situées sous les collines, les talus, les pierres levées, dans les bois entre les racines de chênes ou d'ifs géants. Ils en sortent rarement, cependant on les trouve ici et là : dans les caves et les greniers, sous les lits, au fond des armoires ou de la boîte à ouvrage.
    Les lutins vivent surtout en France, pourtant certains, attirés par les “verdoyantes féeries”, ont gangné le sud-ouest de l'Angleterre pour s'assimiler aux Pixies. On signale aussi un cousin Brag à grelots dans le Yorkshire, deux ou trois Kwelgeert et Plageert en Flandres et quelques autres en Allemagne, en Italie.

    MŒURS :
    Espiègles, farceurs, un peu voleurs, taquins, fripons, lutineurs, ce sont aussi de courageux travailleurs, de redoutables guerriers. S'ils vadrouillent beaucoup derrière les filles et les fées, ils restent fidèlent toute leur vie à l'amour de leur lutine et les suivent dans la mort. Les lutins ne sont pas tout à fait immortels, ils peuvent succomber de mort violente, accidentelle ou de chagrin.
    Grâce à une sorte de chapeau : le Tarnhelm, ils ont la possibilité de disparaître, ou de se transformer en humains ou en bêtes ou même en objets inanimés.
    Les lutins ne sont pas craintifs ; on prétend cependant que si les poils de l'âne ne s'embrouillent jamais c'est qu'ils répugent à y toucher à cause du rôle de cet animal au moment de la Nativité.
    L'odeur du crin brûlé par un cierge béni les éloignent des écuries.


    votre commentaire
  • La légende des douze animaux du zodiaque chinois

    Une légende raconte qu'un jour, alors que l'Empereur de Jade présidait une séance d'audience dans le palais céleste, le tigre, le phénix et le dragon vinrent crier à l'injustice. L'Empereur leur dit: "Vous êtes considérés comme le roi de la montagne, le roi de l'eau et le roi de la forêt. Qui a donc l'audace de vous maltraiter?" Les trois plaignants répondirent: "C'est l'homme. Il essaie par tous les moyens de nous tuer." L'Empereur de Jade dit: "Et bien, rentrez chez vous et informez vos vassaux qu'ils doivent venir attendre devant la Porte sud du Palais céleste à la cinquième veille du matin. A mon signal le premier à se présenter, je le choisirai comme symbole désignant l'année denaissance de l'homme. Celui-là ne sera plus jamais persécuté par l'homme. Quant aux autres, je ne m'en occuperai pas. » Les trois animaux-rois se dépêchèrent d'aller informer leurs vassaux.

    La nouvelle se répandit. Les animaux se préparèrent à la hâte. Le rat qui était en train de creuser un trou n’avait pas entendu la nouvelle. Quand il sortit du trou, il vit le chat qui se lavait le museau et l'interrogea: "Frère chat, vous faites votre toilette, est-ce que vous allez rendre visite à des parents ou bavarder avec des voisins?" Le chat répondit: "Pas du tout. Demain matin, j'ai une affaire importante à régler." Le rat s'empressa de se renseigner. Le chat lui révéla candidement le décret de l'Empereur de Jade. Le rat dit immédiatement: "J'y vais moi aussi." Le chat dit: "Allons-y ensemble. Cependant j'ai l'habitude de faire la grasse matinée. Demain matin vous devrez me réveiller de bonne heure." Le rat acquiesça.

    Le lendemain, le rat se réveilla à la troisième veille du matin et pensa: "Le chat court plus vite que moi. Si je vais avec lui, je le payerai cher", il se leva doucement et se mit en route tout seul, sans aller réveiller le chat.

    Devant la Porte sud du Ciel, des fauves et des oiseaux étaient déjà rassemblés. L'Empereur de Jade, assis dans la salle du palais, ordonna à son ministre, Étoile d'Or, de préparer pinceau et papier. À la cinquième veille, il cria "Entrez". Les animaux accoururent, ils se serrèrent devant la porte du palais et personne ne put faire un pas de plus. Le rat se dit: "Je n'ai pas de force, je n'arriverai pas à traverser la foule. Il me faut trouver un moyen." Soudain, l'idée lui vint de passer entre les jambes des animaux. Alors d'un bond, il sauta le premier devant l'Empereur de Jade qui, en le voyant, dit: "Voilà! Le premier arrivé est le rat." Étoile d'Or en prit note. C'est ainsi que le rat se classa premier des douze animaux.

    Le bœuf, impatient, écarta grâce à sa force les autres animaux et courut en avant. L'Empereur de Jade dit: "Voilà maintenant le boeuf." Étoile d'Or classa le boeuf en deuxième position.

    Le tigre se dit: "Le bœuf a de la force, moi aussi." Il sauta, d'un bond par-dessus les têtes des autres animaux et gagna la troisième place.

    Voyant cela, le lapin réfléchit: "Je ne suis pas assez fort pour traverser la foule. Je vais suivre l'exemple du rat!" Il se fit tout petit et se faufila entre les jambes des autres animaux. Il se classa quatrième.

    Le dragon se mit en colère, en voyant que les autres le précédaient. "Je suis le plus puissant, pourquoi ne pas utiliser mes pouvoirs magiques?" Il s'éleva dans les nuages et s'avança à travers le ciel et arriva le cinquième.

    Le serpent ne supportait pas de se montrer faible. Habile, il se glissa à travers les jambes des animaux et se classa sixième.

    Voyant qu'il n'avait pas le temps de traverser la foule, le cheval concentra ses forces et d'un bond s'élança devant, il fut classé septième.

    Le mouton pensa: "Je suis moins fort que les autres. Je vais essayer de me servir de mes cornes." Il baissa la tête et poussa les autres animaux de ses cornes pointues. Les autres s'empressèrent de le laisser passer. Le mouton put ainsi gagner la huitième place.

    Le singe, lui aussi, utilisa ses capacités. S'agrippant tantôt aux cheveux des uns, tantôt aux oreilles des autres, il bondit promptement, par-dessus les têtes des animaux, et s'élança devant. Il fut classé neuvième.

    Voyant qu'il y avait déjà neuf animaux devant lui, le coq craignit qu'il n'y ait plus de place pour lui. Battant des ailes, il traversa la foule en volant et prit la dixième place.

    L'Empereur de Jade, pensant que le nombre des animaux était suffisant, dit: "Ça suffit! Ça suffit!" Étoile d'Or crut qu'il criait "le chien" et prit en note le chien (en chinois, le mot "chien 狗 gǒu" et le mot "suffit 够 gòu" sont homophones). L'Empereur de Jade répéta: "C'est assez! C'est assez!" Étoile d'Or crut alors qu'il disait le "cochon" et écrivit "cochon" (en chinois, le mot "assez 足 zú" et le mot "cochon 猪 zhú" sont homophones). L'Empereur saisit alors brutalement le papier où étaient inscrits les noms des animaux, et dit: "N'écris plus rien" Il compta et s'aperçut qu'il y avait douze animaux pour désigner les années de naissance, au lieu de dix. Mais il dut donner son consentement. C'est ainsi que furent choisis les douze animaux et que fut fixée leur place respective.

    Ayant gagné la première place, le rat rentra chez lui joyeux et trouva le chat en train de faire sa toilette. Le voyant arriver, le chat dit: "Il faut que nous partions." Le rat lui dit: "Pourquoi partir. J'ai gagné la première place." "Pourquoi ne m'avez-vous pas appelé?" "Si je vous avais réveillé, comment aurais-je gagné la première place?" A ces mots, le chat s'indigna et s'abattit sur le rat pour le dévorer. Le rat était si habile qu'il réussit à s'enfuir. C'est depuis lors que le chat et le rat sont ennemis.

    Les contes de ce genre, transmis de génération en génération sont nombreux. La plupart d'entre eux s'inspirent de la physionomie particulière et du comportement des douze animaux et montrent combien la place de ces animaux est importante dans l'imagination et les sentiments des hommes.


    votre commentaire
  • Les Origines du père Noël

    C'est Saint Nicolas qui a inspiré le Père Noël.
    On retrouve dans la représentation du Père Noël tout ce qui faisait la symbolique du personnage de Saint Nicolas :
    Saint-Nicolas occupe une place de choix dans les traditions populaires du nord et de l'est de la France, et de Belgique. Saint-Nicolas etait, à l'origine le saint Évêque de Myre (Lycie, Asie Mineure, 1ere moitié du IVe siècle). Son extrême popularité est due à sa légende. On connaît en fait peu de chose de sa vie. De nombreux miracles lui sont attribués : sauver trois officiers injustement condamnés ; intervention pour préserver la vertu de trois jeunes filles ; sauvetage de bateaux en perdition ; résurrection d'enfants, etc...
    La fête de saint Nicolas - et c'est ce qui explique l'importance qu'on lui accorde dans certains pays d'Europe - À l'approche du solstice d'hiver, les veillées entre femmes, où l'on prépare les futurs mariages, l'abattage du porc (animal qui est un vieux symbole païen du monde celtique et germanique) marquent un passage décisif dans la vie de la terre et dans l'existence de ceux qui vivent de celle-ci. D'anciens rite de fécondité sont à l'origine des "charivaris" organisés par les jeunes hommes afin d'effrayer les jeunes femmes par l'évocation de l'esprit des morts.

    Au fil des âges, cette pratique, dégénérée, a débouché sur la fête contemporaine des enfants. La longue barbe blanche de St Nicolas se retrouve chez le père Noël, la mitre d'évèque est devenu un bonnet de fourrure, le grand manteau rouge s'est racourci. Le père Noël voyage dans un traîneau tiré par des rênes.

    Saint Nicolas voyageait sur le dos d'un âne. Pour cette raison, dans certaines régions de France, les enfants déposent sous le sapin de Noël, un verre de vin pour le Père Noël et une carotte pour son âne. L'accompagnateur de saint Nicolas (qu'il s'appelle le Père Fouettard, Dame Perchta, Hans Trapp ou Frau Hollé, selon les régions) participe directement du symbolisme de la fécondité. Dans la légende le père fouettard était là pour réprimender les enfants qui n'était pas sages.
    La légende s'installa partout en France et en Europe, et chaque pays et régions y inclua des particularités locales afin de mieux s'identifier au personnage.

    Chaque région de France adapta la légende de St nicolas à sa manière et lui donna un nom différent :

    " Chalande " en Savoie,
    " Père janvier " en Bourgogne et dans le Nivernais,
    " Olentzaro " dans le pays basque
    ou encore
    " Barbassionné " en Normandie.

    Pour les américains, Saint Nicolas est Sinter Klaas qui devint Santa Claus.
    En Allemagne il se nomme SANTA KLAUS.
    Avec l'immigration des allemand et des hollandais au XVIIème siècle, Saint Nicolas a été importé aux Etats-Unis. Là il aurait pris une l'ampleur commerciale que nous connaissons actuellement, subit des transformations vestimentaires et culturelles pour se transformer en un Père Noël plus convivial et serait ensuite revenu en Europe.

    Au XIXème siècle, un écrivain américain, Clément Clarke, qui était pasteur, écrivit un conte de NOËL pour ses enfants dans lequel un personnage sympathique, dodu, jovial et souriant apparaît. Le Père Noël était en train d'acquérir ses lettres de noblesses. Dans son traîneau tiré par huit rennes, il commança à faire rêver des millions d'enfants.

    Dans ce conte, publié en 1821, le Père Noël est une interprètation libre de la légende de Saint-Nicolas. La mitre cèda la place au bonnet, la crosse fût remplacée par un sucre d'orge, et l'âne, par huit rennes fringuants. Saint-Nicolas ne fût plus accompagné du père fouettard.

    En 1809, l'écrivain Washington Irving avait déjà parlé des déplacements aériens de Saint-Nicolas pour la traditionnelle distribution des cadeaux. C'est une des raison pour laquelle le mythe du père Noël fît rêver tant d'enfants.

    A l'époque, Saint-Nicolas était une personnalité bien distincte du père Noël. C'est la presse américaine qui réunit en un seul et même être les diverses personnifications dispensatrices de cadeaux.

    La publication du fameux poème de Clement Clarke Moore, publié pour la première fois dans le journal Sentinel, de New York, le 23 décembre 1823, intitulé " A Visit From St. Nicholas " contribua certainement le plus à l'unification de ces personnages.
    Repris les années suivantes par plusieurs grands quotidiens américains, ce récit fût ensuite traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.

    En 1860, le journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly, revêt Santa-Claus d'un costume rouge, garni de fourrure blanche et rehaussé d'un large ceinturon de cuir. Pendant près de 30 ans, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste du journal illustra au moyen de centaines de dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus connu chez les francophones comme étant le père Noël.

    En 1885, Nast établissait la résidence officielle du père Noël au pôle Nord
    au moyen d'un dessin illustrant deux enfants regardant, sur une carte de monde, le tracé de son parcours depuis le pôle Nord jusqu'aux États-Unis. L'année suivante, l'écrivain américain George P. Webster reprenait cette idée et précisait que sa manufacture de jouets et "sa demeure, pendant les longs mois d'été, est cachée dans la glace et la neige du pôle Nord".

    C'est en 1931, que le père Noël prit finalement une toute nouvelle allure dans une image publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola

    Grâce au talent artistique de Haddon Sundblom, le père Noël avait désormais une stature humaine (le rendant ainsi plus convaincant et nettement plus accessible), un ventre rebondissant, une figurine sympathique, un air jovial et une attitude débonnaire.
    La longue robe rouge a été remplacée par un pantalon et une tunique. Ceci est plus marqué aux Etats Unis, car en France, le père Noël a conservé une longue robe rouge. Coca Cola souhaitait ainsi inciter les consommateurs à boire du Coca Cola en plein hiver.

    Ainsi, pendant près de 35 ans, Coca-Cola diffusa ce portrait du père Noël dans la presse écrite et, ensuite, à la télévision partout dans le monde

    .

    L'idée que les enfants se font aujourd'hui du père Noël est fortement imprégnée de cette image.
    Il existe aussi une légende russe qui raconte que le père Noël pourrait être le 4ème roi mage qui conduit sur la steppe un traineau tiré par des rennes et rempli de cadeaux pour les enfants. Depuis 2000 ans il a renoncé à trouver l'enfant Jésus, alors il comble de cadeaux les enfants qu'il rencontre en cours de route.


    votre commentaire
  • La licorne est un animal mythique, son nom vient du latin unicornus (« une seule corne »). Elle est appelée monokeros en grec. On a également traduit le mot hébreu Re'em, présent dans la bible, par licorne.

    La licorne est souvent dépeinte dans les bestiaires médiévaux (recueils de fables), comme étant un cheval blanc et arborant une corne spiralée sur le front, et qui peut vivre jusqu'à mille ans. Néanmoins, son aspect et sa personnalité diffèrent parfois selon la région du monde où elle était censée être aperçue. Ainsi en Occident, elle est souvent décrite comme étant sauvage et indomptable; tandis qu'en Orient, l'on racontait que c'était un animal paisible et doux, qui apportait la bonne fortune.

    On en parle pour la première fois en Occident, dans les textes écrits sous la plume de l'historien Grec Ctesias, vers 389 avant J-C, sur la base de récits de voyageurs. Selon l'auteur, les licornes auraient habité l'Inde; elles sont décrites comme étant des ânes sauvages aussi gros que des chevaux - et parfois plus encore - leur pelage était blanc, leur tête rouge foncé et leurs yeux d'un bleu profond. Sur leur tête se dressait une longue corne d'environ 50 cm de long : généralement blanche à la base noire au milieu et rouge sur le bout. Somme toute il s'agit d'un animal fabuleux, mélange de rhinocéros indien, d'antilope de l'Himalaya et d'âne sauvage. Le narval est également appelé licorne de mer.

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>Source et éléments de la légende

    Ce qui caractérise essentiellement la licorne, c'est sa corne unique.

    • les cornes des mammifères peuvent prendre des formes diverses. Alors que sur le front elles sont normalement une paire, il arrive aussi qu'une seule des deux cornes se développe, et (plus impressionnant, car le résultat est alors parfaitement central) "elles peuvent fusionner", ce qui donne une corne unique. C'est notamment le cas des cornes de certaines chèvres. Ainsi, conformément à la légende, quelques animaux à corne unique et ressemblant à la description classique de la licorne occidentale sont attestés (dont un bouc en 1982, dans un zoo américain). Bien entendu, de tels animaux, naturels mais rarissimes, ne constituent pas une espèce mais seulement des spécimens monstrueux, et on peut comprendre qu'ils aient suscité des interprétations magiques.
    • Les défenses de narval (en fait une dent) furent identifiées comme étant celles des licornes, ajoutant de la crédibilité au mythe, entretenu par ce cadeau mystérieux entre princes.
    • Les antilopes africaines de type Oryx, et le rhinocéros indien (plus petit que l'africain et avec une corne unique) ont également été présentés comme une explication possible, car leur description à partir de ces pays lointains laisse de la place à de nombreuses déformations.

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>Licorne occidentale

    L'historien grec Ctésias (vers 400 av-jc) rapporte l'existence d'un animal sauvage dont la corne possédait des propriétés médicinales.

    La licorne occidentale était un quadrupède magique, blanc, avec une corne torsadée sur le front. Elle se rapproche du cheval, par la forme générale et la taille, mais aussi de la chèvre, dont elle a les sabots fourchus et la barbiche, ou des cervidés.

    Le symbolisme sexuel de la licorne est assez explicite. La licorne est femelle et vierge, mais sa corne lui donne un attribut mâle. Symbole de sagesse et de pureté, elle ne pouvait être approchée et apprivoisée que par une jeune fille vierge, mais certains contes rapportent l'histoire d'un homme qui parvient à vaincre une licorne, en échappant à un coup de sa corne qui s'enfonce dans un arbre, ce qui laisse l'animal à la merci de l'homme, qui peut alors s'emparer de sa corne.

    Les légendes racontent que la corne unique fait office d'antidote. Sous forme de poudre, elle facilite la guérison des blessures. Elle permet de purifier les eaux et de neutraliser les poisons (le Roi de France disposait d'une corne de licorne à cet usage, ce qui pour autant ne lui faisait pas négliger des précautions plus terre-à-terre...)

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>Héraldique

    La licorne est aussi une figure héraldique imaginaire figurée selon la tradition, mais avec des sabots fourchus de cervidés (comme dans l'illustration ci-contre) et une barbiche sous la gueule. Fréquente surtout dans les ornements extérieurs de l'écu. En particulier, elle servait de support aux armes d'Écosse. De nos jours, elle est représentée avec le lion pour porter les armoiries sur les armes de la Grande-Bretagne où le lion figure l'Angleterre et la licorne, l'Écosse. Les armes actuelles d'Écosse et d'Angleterre figurent les deux animaux, pour manifester l'union des deux couronnes. Notons aussi les armoiries des dominions britanniques, comme le Canada, qui possèdent en général le lion et la licorne. En France, elle est sur les armoiries de la ville normande de Saint-Lô et de la ville alsacienne de Saverne .

    <span-headline></span-headline><span-headline></span-headline>La licorne chinoise (Ki-rin ou Ch'i-lin)

    Elle ressemble peu à celle décrite en Europe. Elle est souvent comparée à un reptile à queue de boeuf, proche du cerf et portant sur le front une corne recouverte de fourrure (d'où le nom de licorne utilisé). Elle représente la douceur, la bonté et la prospérité (surtout chez les enfants et les adolescents).

    La licorne est également un symbole de perspicacité, et était traditionnellement représentée dans les tribunaux chinois du système impérial sur la tenture séparant la salle d'audience et le cabinet du magistrat (peut-être son unique corne au milieu du front symbolise-t-elle la facilité à trancher en séparant le vrai du faux).

    Avec le système des cinq éléments, la licorne est associée aux quatre animaux bénéfiques, à savoir le dragon, l'oiseau vermillon du sud, le tigre et la tortue noire. Elle est censée vivre mille ans et elle apparaît lors de la naissance des empereurs et des grands sages. Elle symbolise le bonheur d'avoir des enfants.


    votre commentaire
  • La légende de l’indien Solitaire !

    o7vuwr7x

    Parmi les arbres un enfant regardait d’autres enfants jouez mais ils n’avaient pas la même couleur de peau que lui.

    Le temps passant, il se fit surprendre par c’est même jeunes. Les insultes fusèrent puis à l’aide de filet il le traîne dans la ville l’enfant subis et ne dit rien. Les bonnes gens applaudissaient et rigolaient de ce monstre a peau rouge. L’enfant subis des jours entiers brimades et peu de quoi vivre. Laser de cette enfant monstre ils l’oublièrent loin de leur conscience dans le désert loin de t’est bois.

    L’enfant survécu se rafraîchit à l’eau des cactus, mangeant tous ce qu’il pouvait trouver. Il grandit solitaire mais un jour rencontra des frères rouges, ils vécus avec eux s’étais des pacifistes Partis à la chasse il entendit le tonnerre mais le ciel étais clair poins d’éclairs. Au loin une fumée s’éleva les charognards tournoyais signe de mort. Une fois encore il se retrouva encore solitaire sa femme et son fils gisaient à terre les blancs étaient passé drainant la désolation derrière eux.

    Regardant le ciel il demanda le pourquoi de tout cela envers lui. Il ne reçut aucunes réponses, repris le chemin mais cette fois si vers c’est bois natals mais il ne connaissait plus le chemin son passé s’était devenu trop lointain. Mais il fini par le trouvé le temps l’avait vieillis tellement que fatigué Hermite il est devenu.

    Un jour son âme s’éleva vers les cieux et Manitou l’appela à lui et lui dit. Un jour tu as prié les dieux tu as posé une question et nous ne t’avons répondu, voici le pourquoi ! T’es yeux ton âme ont connu tellement de vilenies que ton cœur est resté pur tu as étouffé la haine en toi, Tu as pris le long chemin de la Solitude semant la sagesse derrière toi, pourquoi alors te répondre nous savions que tu avais trouvé la vérité, tu es l’image vivante de ton peuple ayant subis humiliations, massacres, tu étais leur leurs voix et leurs souvenirs maintenant tu es leur esprit, regarde en bas c’est un nouvel enfant subissant les mêmes malheurs que toi mais il le faut que soient ainsi car un jour les nations amérindiennes disparaîtrons de la terre pour être réunis ici libre dans le ciel aussi voici montrant du doigt des anciens assis, voici ta place au conseil des sages a fin de guider t’est frères.

    Au loin sa femme et son enfant après lui avoir sourit montèrent prés de lui leurs tepee il avait retrouvé sa raison de vivre à nouveau. S’essayant au pré des anciens il pris le calumet qu’on lui tendis sa vie d’errance étais finie les nations amérindiennes ne subirai plus la loi des blancs ils ne gagneraient jamais en ce paradis les sages devenus invisibles cachait la porte de leurs territoires la fumée des sages les guidait vers Manitou qui les accueillaient. Ainsi vécurent il pour l’éternité.

    Ecrit et dit par Confédérate Cherokee.

    27p1wplx


    votre commentaire
  • Un jour,les oiseaux se réunirent afin de désigner lequel d'entre eux volait le plus haut

    Le concours commenca,certains s'élevèrent trés vite,mais furent vite épuisés et dépassés par les plus puissants.

    Puis vint l'aigle,et il les surpassa tous.Il allait fièrement proclamer partout sa victoire,lorsque quittant le dos du rapace

    le minuscule oiseau qui était jusque là caché,une linotte grise,prit à son tour son essor,

    sans que nul n'ait deviné le subterfuge,et parvint sans peine beaucoup plus haut.

    Quand l'assemblée tint son conseil pour rendre la sentence,elle s'accorda pour attribuer la victoire à l'aigle.

    En effet il était d'entre tous,celui qui c'était le plus rapproché du soleil et le seul de surcroît à avoir réussi cet exploit en portant sur son dos la linotte...

    Nul à compter de ce jour,ne douta que l'aigle était à la fois le plus courageux et le plus fort des guerriers.

    C'est pourquoi ses plumes sont le signe le plus respectable qu'un chef valeureux puisse s'enorgueillir de porter.

    496190


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique