• La Bête du Gévaudan – Un terrifiant mystère

    Ci-dessus en haut photo de la statue d’Auvers où Marie-Jeanne Vallet combat la Bête, en bas à gauche « les horribles agissements de la Bête » (Bibliothèque nationale, Paris) et à droite stèle à la mémoire de Jean Chastel à la Besseyre St-Mary

    De 1764 à 1767, les villages, les forêts et les pâtures du sud du Massif central ont résonné des grondements du plus sanguinaire de tous les monstres : la Bête de Gévaudan.
    L’aube de l’été 1764, la province sauvage et montagneuse du Gévaudan (actuelle Lozère) s’apprêtait à entrer dans la période la plus terrifiante de son histoire… Le 30 juin, Jeanne Boulet, une bergère de 14 ans fut découverte morte et horriblement mutilée dans le pâturage où elle menait ses vaches. Elle fut la première victime de ce que l’on appela bientôt « la Bête de Gévaudan » : au cours des trois années qui suivirent, pas moins de 75 personnes furent abattues et de nombreuses autres cruellement blessées par cette créature mystérieuse et sanguinaire.
    La nature de la Bête est toujours restée énigmatique : loup géant, animal exotique, monstre sorti des enfers ou tueur humain, nul n’a jamais pu trancher avec certitude.
    C’est finalement un certain Jean Chastel, personnage ambigu, qui parvint à l’abattre d’une balle bénite en argent – unique projectile capable d’abattre un loup garou selon la légende -, le 19 juin 1767. Le cadavre ne fut pas conservé, mais il s’agissait apparemment d’un hybride de loup et de gros chien. La Bête obéissait-elle à un maître ? Pour certains l’hypothèse que ce soit Jean Chastel lui-même mais le mystère plane toujours.

    votre commentaire
  • Zmeï Gorynytch – La terreur de toutes les Russies

    Ci-dessus en haut à gauche illustration d’Ivan Bilibine « A l’issue d’un combat sans pitié contre Zmeï Gorynytch, Dobrynia Nikititch libère la belle Zabava Poutiatichna » et une peinture de Zmeï Gorynytch par B.Zvorykine

    Echappé de récits épiques vieux de 1000 ans, le dragon Zmeï Gorynytch épouvante aujourd’hui encore les petits enfants russes, à qui l’on décrit ses trois têtes crachant du feu et son grand corps reptilien couvert d’écailles impénétrables …
    Il y a bien longtemps, un jeune héros nommé Dobrynia Nikititch et sa mère Amelfa Timoféïévna vivaient dans une belle région de la grande Russie. Amelfa était réputée pour sa sagesse et ses intuitions presque surnaturelles … Un jour, elle mit son fils en garde contre la rivière Poutchaï qui coulait près de chez eux : à aucun prix il ne devait s’y baigner s’il souhaitait garder la vie ! Consumé par la curiosité, Dobrynia se rendit au bord de l’eau malgré les avertissements maternels. La rivière lui sembla paisible et limpide, et, comme le soleil brillait, il quitta bientôt ses habits, son armure et son épée pour plonger dans l’eau claire.
    Hélas, à peine eut-il fait quelques mètres, qu’un immense dragon à trois têtes se rua sur lui, prêt à le dévorer. Ce n’était autre que le fameux Zmeï Gorynytch, redouté jusqu’aux confins de l’Oural. Dobrynia crut sa dernière heure arrivée. Mais avant que Zmeï Gorynytch n’ait eu le temps de l’atteindre, il se précipita vers la rive et parvint à attraper son lourd casque d’acier. Il en porta un coup féroce sur le crâne de la bête, et s’apprêtait à recommencer quand le dragon le supplia d’arrêter : il fit appel à sa pitié en évoquant ses nombreux enfants et lui demanda la vie sauve. Dobrynia se laissa attendrir et le dragon s’enfuit.
    Mais le héros regretta bientôt son geste : à peine libéré, Zmeï Gorynytch enleva la jolie Zabava Poutiatichna, nièce du prince Vladimir de Kiev. Dobrynia se rendit alors sur les lieux, bien décidé à en finir avec le monstre. Il s’approcha de sa tanière, établie dans un réseau complexe de grottes. Dès qu’il y pénétra, il fut assailli par des centaines de petits dragons : les enfants de Zmeï Gorynytch. Avec l’aide de son cheval magique, il parvint à les vaincre, mais leur père, alerté par le bruit, se précipita sur lui dans une rage folle. Commença alors un long combat : c’est seulement au bout de trois jours et trois nuits que Dobrynia parvint à vaincre la cruelle créature. Parcourant le réseau de cavernes du monstre, il y trouva de nombreux prisonniers qu’il libérera un à un. Dans le dernier cachot, il découvrit enfin la nièce du prince Vladimir, qu’il ramena en grande pompe à son oncle.

    votre commentaire
  • Le Graoully – La terreur messine

    Ci-dessus en haut Saint Clément (gravure tirée de La Cathédrale de Metz par Jean-Baptiste Pelt), en bas à gauche une des effigie du Graoully à Metz dans la cathédrale Saint Etienne et à sa droite illustration d’après une miniature du XIVe siècle où Saint Clément maîtrisa le Graoully avec une simple étole et le promena dans la cité

    Incarnation des forces diaboliques du paganisme, le Graoully hantait la ville de Metz il y a près de 2000 ans. Saint Clément, en libérant la cité par la seule puissance de sa foi, la fit entrer dans le giron de la chrétienté.
    Il y a fort longtemps, un dragon sanguinaire faisait régner la terreur sur le ville de Metz. La seule vue de cette créature infernale suffisait à susciter l’effroi : doté d’un corps recouvert d’écailles brunes plus solides que l’airain, de courtes pattes griffues, d’yeux rouges et d’ailes de chauve-souris, le monstre respirait la puissance et la cruauté. Chaque soir, il survolait la cité la gueule grande ouverte sur ses crocs acérés, et fondait sur quelque proie innocente qu’il dévorait sans pitié. On le surnommait « le Graoully » de l’allemand « graulich », qui signifie terrifiant.
    Les habitants de Metz étaient désemparés face à ce fléau lorsque Saint Clément arriva dans la cité. Il venait de Rome pour apporter la bonne parole au peuple messin encore païen. La réputation de l’homme d’Eglise était grande, et on le disait capable d’accomplir des miracles. Sans se munir d’aucune arme ni armure, il se rendit dans l’antre du dragon qui s’était établi dans les arènes de Metz, ancien amphithéâtre romain. Le Graoully faisant face à Clément, la gueule dégoulinante d’une bave empoisonnée, le saint prit une simple étole dans ses mains et la jeta autour du cou du monstre, qui fut aussitôt immobilisé. Il le conduisit alors, comme un chien en laisse, jusqu’aux rives de la Seille, l’un des deux fleuves qui coulent à travers Metz où il le jeta à l’eau. Celui-ci disparut à tout jamais au fond des flots. Metz fut ainsi débarrassée du Graoully. Eblouis par ce nouveau miracle de Saint Clément, les habitants abandonnèrent leurs anciennes croyances et se convertirent au christianisme. Il devint ainsi le premier évêque de Metz appelé encore Divodurum.

    votre commentaire
  • Le Ver de Lambton – La Malédiction de Durham

    Ci-dessus en haut photo du pont sur la rivière Wear à Durham, en bas à gauche illustration du ver lambton de A John D. Batten (collection par J. Jacobs, 1897) et à droite dessin du ver sortant du puits

    Parce qu’il menait une existence dépravée, le jeune John Lambton attira un abominable dragon sur les terres de son château. Il parvint à s’en débarrasser, mais ses descendants payèrent longtemps le prix de ses péchés.
    Il y a bien longtemps, l’héritier du château de Lambton, situé dans le comté de Durham en Angleterre, était un jeune débauché qui passait son temps en fêtes et beuveries. Un beau matin, il se rendit à la rivière Wear pour pêcher. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il releva sa ligne ! Au lieu d’un poisson, une affreuse créature était prise à l’hameçon : un énorme ver noir et visqueux, doté d’une tête de dragon et d’yeux de démon. Des centaines de crocs acérés hérissaient sa gueule, et une humeur nauséabonde suintait de branchies situées sur les côtés de sa tête.
    John Lambton rejeta sa monstrueuse prise dans le puits de plus proche, pensant s’en débarrasser. Choqué par l’évènement, il s’en fut ensuite en Terre sainte pour se repentir de ses péchés. Mais durant son absence, le Ver fut loin de dépérir : il s’extirpa du puits pour s’installer sur la colline voisine, et grandit si épouvantablement que son corps annelé faisait neuf fois le tour de ce tertre. De là, il se mit à semer la terreur dans la région, dévorant bétail et enfants. Les habitants tentèrent de le combattre, mais à peine quelqu’un avait-il tranché le Ver en deux que les parties se ressoudaient …
    Quelque temps plus tard, John Lambton revint de son pèlerinage et découvrit ce qui était arrivé en son absence. Il s’en voulut de ne pas avoir tué le Ver la première fois et résolut de libérer la région de cette bête immonde. Avant de l’affronter, il alla consulter une sorcière réputée, qui lui donna plusieurs conseils : pour vaincre le monstre, il devait impérativement l’affronter dans la rivière Wear et porter une armure particulière, entièrement recouverte de lames effilées. Ce qu’il fit et se rendit auprès du monstre. Il manoeuvra astucieusement pour l’attirer jusqu’au fleuve, et, une fois dans l’eau, laissa le Ver s’enrouler autour de lui. Le monstre pensait ainsi l’étouffer, mais fut tranché en morceaux par les lames qui recouvraient l’armure de John. Ainsi périt le Ver, mais sa malédiction poursuivit la famille des Lambton pendant neuf générations durant lesquelles tous les héritiers du château périrent de mort violente dans d’abominables circonstances. En effet, pour l’éviter, il devait tuer la première personne qu’il croiserait après le combat. Hélas lorsqu’il revint victorieux c’est son père qu’il vu et ne put se résoudre à l’abattre, et tua à la place son plus fidèle chien, qui était également à ses côtés. Il espérait ainsi conjurer la malédiction mais ce ne fut pas le cas.

    votre commentaire
  • Le Griffon – Seigneur du Ciel et de la Terre

    Ci-dessus différentes illustrations du griffon dont une en haut à droite provenant du bas-relief du palais de Darius Ier (510 avant J.C., musée du Louvre, Paris) et tout en bas à droite un « hippogriffe » (animal hybride entre un griffon et une jument) qu’on retrouve dans Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban (2004)

    Depuis la nuit des temps, la majestueuse silhouette du Griffon plane sur les mythologies du monde entier : cette puissante créature, mêlant l’aigle et le lion (les deux animaux les plus nobles), veille sur les trésors et transporte les dieux.
    Doté de l’arrière du corps d’un lion (le roi de la Terre) et des ailes, de la tête et des pattes avant d’un aigle (le maître des cieux), le Griffon est un animal d’une majesté sans égale. Son corps musclé est recouvert d’un plumage multicolore : son dos est noir, son cou bleu, ses ailes blanches et sa poitrine rouge. Grand comme huit lions et fort comme cent aigles, il possède des serres aussi grosses que les cornes d’un bœuf, avec lesquelles il peut emporter un cheval dans les airs aussi facilement qu’une brindille de paille.
    Apparu en Mésopotamie il y a plus de 5000 ans, le Griffon avait alors la charge de garder l’arbre de vie et les portes des cités. On le retrouve ensuite en Egypte vers 3000 ans avant J.C., où sa puissance en fait un symbole du roi combattant. Dans la mythologie grecque, le Griffon est cité comme animal de compagnie de Zeus, le roi des dieux, mais également comme monture d’Apollon. Les Grecs pensaient aussi que des Griffons veillaient jalousement sur l’or mythique des Hyperboréens (peuple vivant dans l’Extrême Nord) et sur le cratère contenant le vin du dieu Dionysos. On raconte encore qu’Alexandre de Grand tenta en vain d’apprivoiser un Griffon pour en faire sa monture. Très populaire dans l’Antiquité, le Griffon réapparaît à l’époque médiévale où on le considère alors comme un animal bien réel et il figure en bonne place dans les bestiaires et les encyclopédies. Mais il est aussi un symbole christique : l’aigle représente la part divine du Christ, tandis que le lion illustre son humanité. Il fut donc naturellement associé au Saint Graal, dont il aurait été le gardien. L’architecture gothique a aussi fait du Griffon un motif très prisé : on le retrouve sur de nombreux monuments sous forme de gargouille. L’héraldique (art des blasons) s’en empare enfin, et le Griffon devient un symbole de force et de noblesse arboré par de nombreux blasons de la chevalerie.

    votre commentaire
  • La Wyverne de Mordiford – Le dragon et la fillette

    Ci-dessus différentes images de la wyverne

    Une ancienne légende anglaise raconte l’incroyable amitié qui naquit entre une petite fille nommée Maud qui vivait dans le village de Mordiford dans le comté de l’Herefordshire en Angleterre et une terrible Wyverne, dragon mangeur d’hommes à la cruauté sans limites au corps reptilien couvert d’écailles vertes et luisantes plus tranchantes que des lames de couteau, un dard empoisonné au bout de sa queue et deux grandes ailes aux allures d’une chauve-souris géante.
    Recueillie par la fillette alors qu’elle n’était qu’un minuscule dragonnet, la Wyverne lui témoigna son affection jusqu’à sa mort. Ainsi, elle décima les habitants de son village, mais ne leva jamais la patte sur Maud, qui, en retour, lui voua une amitié sans faille : elle fut bien la seule à pleurer sur la dépouille du dragon après sa mort.
    Il existe plusieurs versions du récit de la mort de la Wyverne. Selon certaines, les villageois chargent un condamné à mort de les débarrasser du monstre : s’il y parvient, il gagnera ainsi le vie sauve et la liberté. L’homme se rend devant le repaire du dragon et a la chance de le trouver endormi. Il peut alors l’abattre et rapporte sa langue pour preuve de son exploit. Dans une variante, il emploie la ruse : il se cache dans un tonneau de cidre couvert de lames tranchantes, et lorsque la Wyverne veut l’attaquer, elle succombe aux blessures qu’elle s’inflige elle-même sur le tonneau. Mais son attaquant ne survit pas non plus, empoisonné par le souffle mortel du dragon. Enfin, dans une dernière version, ce n’est pas un criminel qui part à l’attaque de la Wyverne, mais un chevalier issu d’une famille de la noblesse locale, les Garston. Il achève son adversaire en lui plantant son épée dans la gorge, faisant jaillir des flots de sang noir.

    votre commentaire
  • Ci-dessus différentes représentations de l’Ouroboros

    L’Ouroboros est l’un des plus anciens symboles ésotériques au monde. Réunissant en lui commencement et fin, ce dragon circulaire qui se mord la queue représente depuis des millénaires le cycle éternel de la vie et de la mort. (On pensait jadis qu’en abandonnant sa mue, le serpent gagnait une nouvelle jeunesse).
    L’Ouroboros est un symbole dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Depuis des milliers d’années, ce serpent ou dragon circulaire qui avale sa propre queue apparaît de multiples civilisations sur tous les continents. Déjà, il y a plus de 6000 ans, en Chine, les dragons-cochons de la culture néolithique de Hongshan évoquent l’Ouroboros : ces créatures sculptées dans le jade possèdent une tête de cochon et un corps de serpent enroulé sur lui-même, de façon à former un cercle.
    Puis, 1600 ans avant notre ère, on rencontre des représentations de serpents circulaires se mordant la queue en Egypte, où ils évoquent le parcours annuel du disque solaire et son éternel recommencement. De là, le symbole se transmet aux Phéniciens et aux Grecs, qui le baptisent Ouroboros (littéralement, « qui se mord la queue »). Mais l’Ouroboros ne se limite pas aux cultures méditerranéennes : on le retrouve aussi bien loin de ces régions. Ainsi, le serpent Jormungand, qui encercle le monde dans les légendes scandinaves, en est un avatar, de même que le dieu serpent à plumes des Aztèques, Quetzalcoalt, fréquemment représenté enroulé sur lui-même. Dans la mythologie indienne encore, on raconte que le monde repose sur quatre éléphants, eux-mêmes supportés par une tortue autour de laquelle s’enroule un dragon circulaire.
    Au-delà des mythologies, l’Ouroboros a aussi été employé dans diverses formes de mysticisme. Ainsi, pour les gnostiques (mouvement religieux du bassin méditerranéen et du Moyen-Orient), il est associé au démon-dieu solaire Abraxas, et représente l’éternité. En alchimie, il exprime l’unité de toutes choses, matérielles ou spirituelles, et le fait que rien ne se crée ni ne disparaît, mais tout se transforme perpétuellement dans un cycle éternel de destruction et de recréation. Enfin, il a aussi été utilisé dans l’iconographie chrétienne, en tant qu’emblème de la résurrection du Christ ou de l’éternité de la vie dans l’au-delà


    votre commentaire
  • La légende sundgauvienne de la vieille sorcière de Koestlach.




    Une vieille sorcière vivait à Koestlach. Elle avait à son service une jeune fille de toute beauté qu’elle exploitait sans vergogne. Il n’était pas rare que la belle servante se couche après minuit tant elle était accablée de travail. Aussi a-t-elle été très étonnée qu’un soir la vieille sorcière lui demande de se coucher de bonne heure.

    Peu habituée à être au lit de si bonne heure, elle ne pouvait pas trouver le sommeil quand tout à coup elle entendit le bruit d’un bourdonnement provenant d’une pièce à côté. Poussée par la curiosité, elle regarda par le trou de la serrure et découvrit un spectacle surprenant : de grands bouchons de paille surmontés de têtes humaines étaient assis en ronds et elles filaient du lin tant qu'ils pouvaient…

    Atterrée par le spectacle qu’elle venait de voir, elle réclama ses gages et sa liberté à la vieille sorcière dès le lendemain. Cette dernière, se doutant que la belle servante avait vu quelque chose, lui fit promettre de ne jamais parler de ce qui s’était passé le soir précédant. La servante, encore terrorisée, fit la promesse et s’en alla.

    Deux années plus tard, la jeune fille, pensant sans doute que le temps avait atténué la portée de sa promesse, confia le secret à l'une de ses amies.

    Dès le lendemain, elle se retrouva clouée au lit, tous les membres de son corps enflé et douloureux. Son calvaire dura des semaines.

    Un jeune garçon de Koestlach revenait d’un voyage à l’étranger. Tandis qu’il traversait une forêt du Sundgau, il entendit un rire sinistre provenant d’une clairière au loin. Il s’en approcha discrètement pour constater qu’il s’agissait de sorcières qui tenaient réunion. Et c’est ainsi qu’il entendit la vieille sorcière de Koestlach se vanter du maléfice qu’elle faisait subit à son ancienne servante et expliquer à ses consoeurs comment s’en défaire…

    Il courut au village pour sauver la belle servante qu’il savait fort belle au demeurant. Il devait lui faire prendre un bain de pieds avec le lait des trois plus vieilles vaches noires de Koestlach, ce qui fût fait séance tenante.

    La belle ainsi sauvée devint sa femme. Ils s'aimèrent longtemps et eurent beaucoup d'enfants.

    Quant à la vieille sorcière…, elle en mourut de dépit.


    votre commentaire
  • Mélusine, La Légende

    Mélusine, La Légende
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>L'origine de Mélusine est royale. En effet, sa mère, la fée Présine, avait charmé son père Elinas, le roi d'Ecosse, non sans lui avoir fait promettre, avant leur mariage, de ne jamais chercher à la voir pendant qu'elle accoucherait. Elinas, oubliant sa promesse, enfreint l'interdit. Présine dut alors se réfugier avec ses trois filles, Mélusine, Mélior, et Palestine, dans l'Ile perdue (Ile d'Avalon).

    Lorsqu'elles devinrent grandes, celles-ci, usant de leurs pouvoirs de f
    ées, décidèrent d'enfermer leur père dans la montagne magique de Northumberland. Cela parut trop sévère à Présine qui jeta un sort sur ses filles.

    Elle dit à
    Mélusine : " Tous les samedis tu seras serpente du nombril au bas du corps. Mais si tu trouves un homme qui veuille bien te prendre pour épouse et promettre de ne jamais te voir le samedi, tu suivras le cours normal de la vie. Toutefois si ton mari vient à percer ton secret, tu seras condamnée à retourner au tourment jusqu'au jugement dernier".

    Mélusine rencontre Raymondin dans la Forêt de C
    é près de Lusignan. Ce dernier, revenant d'une chasse au sanglier aucours de laquelle il a tué par accident son oncle Aimeri, comte de Poitiers tombe amoureux de Mélusine et la demande en mariage.

    Grâce à ses pouvoirs, Mélusine réussit
    à faire innocenter Raymondin. La fée, accepte de l'épouser et lui fait promettre de n'avoir aucun doute sur son origine et de ne jamais chercher à la voir le samedi. En échange, elle offre à Raymondin sa fortune ainsi qu'une nombreuse et longue descendance.

    Durant la première année de leur mariage, Mélusine entrep
    rit la construction de Vouvant, de Mervent et de la tour de Saint-Maixent: autant de places fortes qui contribuèrent à l'immense puissance de la famille Lusignan. Une seule nuit lui suffisaient pour édifier les plus imposantes forteresses (Tiffauge, Talmont, Partenay), des églises comme Saint-Paul-en-Gâtine, surgi au milieu des champs, les tours de la Garde à La Rochelle et celles de Niort, et même la ville de Lusignan.

    Un samedi poussé par la jalousie de son frère, le
    comte de Forez, Raymondin transgressa la règle de fit avec la pointe de son épée un trou dans la solide porte en fer qui gardait le chambre de sa femme. Et voici ce qu'il vit:

    "Mélusine se baignait dans une moult grand
    e cuve de marbre, en signe de femme jusqu'au nombril, et se peignait les cheveux; et, du nombril en bas, en signe de queue d'une serpente, grosse comme une quaque à hareng, et moult longuement débattait sa queue en l'eau tellement qu'elle en faisait jaillir jusqu'à la voûte de sa chambre"

    Mélusine trahie s'enfuit dans un c
    ri par le fenêtre et plus jamais son mari ne la revit sous forme humaine. Toutefois, la légende nous enseigne que Mélusine revint pendant trois jours, à chaque fois que l'une des forteresses qu'elle avait construites changea de maître, et qu'elle apparut toutes les fois que l'un de ses descendants fut sur le point de mourir.

    votre commentaire
  • Les boggarts (ou bwcas, bogan, bogle, boggle) sont issus de la mythologie britannique. Ils y sont décrits comme des nains hideux, velus et malveillants. On raconte souvent d'eux qu'ils hantent les landes et dévastent les chaumières sans raison valable, dans l'unique but de nuire. Il existe une version plus nuancée, présentée par Jacques Ier d'Angleterre dans son traité de démonologie, publié à Londres en 1597. Il parle ainsi d'un "homme hirsute qui hante diverses maison sans y faire aucun mal, mais se comporte parfois comme s'il était nécessaire de mettre la maison sens dessus dessous". Pour s'en débarrasser, on disait qu'il fallait soit appeler un exorciste, soit deviner son nom qu'il gardait secret.
    Edouard Brasey prétend que le boggart serait dans l'imaginaire anglais le cousin dégénéré du brownie, un esprit servant britannique. En effet, il existe des légendes ou le boggart est décrit comme un esprit domestique attaché à une famille, mais à la différence de ses "cousins", il ne rend aucun service et joue des tours aux habitants, allant même jusqu'à les voler. Il peut suivre sa famille ou qu'elle aille dans le but de la harceler. On suspendait parfois un fer à cheval devant les portes des maisons pour éloigner les boggarts. Dans le folklore du nord-ouest de l'Angleterre, les boggarts vivent sous les ponts, et cela porte malheur de ne pas les saluer si on les croise.


    votre commentaire
  • *

     

    Le houx doit ses lettres de noblesse aux services rendus à la Sainte Famille.

    Afin d'échapper à la colère d'Hérode, prêt à faire massacrer tous les enfants mâles de moins de deux ans, pour être sûr d'en éliminer un seul, Jésus. Marie, Joseph et leur enfant furent contraints de fuir en Egypte.

    Des miracles ont jalonné leur chemin. Sous une escorte de lions, de loups et de léopards, la famille pu avancer sans danger.

    Pour les nourrir et les désaltérer le palmier se baissa leur offrant ses fruits, de ses racines jaillit une source.

    Lorsque les soldats d'Hérode s'approchèrent dangeureusement, le houx, à son tour, a étendu ses branches pour cacher, mère, père et enfant.

    En reconnaissance Marie le bénit en disant que le houx resterait toujours vert, un symbole d'immortalité.

    Une légende raconte que la croix était en bois de houx, parce que parmi tous les arbres, seul le houx se laissa sacrifier. Les piquants le long des feuilles symbolisant la Passion et la couronne de houx de l'Avent et ses 4 bougies qu'on allume une à une les 4 dimanche de décembre, en préparation de l'avénement du Christ, nous rappellent les liens entre Noël et Pâcques.

    Pour que l'année à venir soit profitable, il faut faire rentrer du houx à la maison à Noël.
     
     
     
     
     
     
     
    nn088pm9

    votre commentaire
  • la légende du vendredi 13*

    *la légende du vendredi 13*

    <div-container align="center" style="margin: 0px; text-align: center; padding: 0px;"></div-container> <div-container></div-container>Dans une année, il y a un, deux ou trois vendredi 13. Le plus souvent il y en a deux. Pour qu'il y en ait trois, il faut que le premier jour de l'année (1er janvier) tombe un jeudi. La dernière année à en avoir eu 3 était l'année 1998

    On raconte que la peur du 13 trouve son origine dans l'Antiquité. Autrefois, tout était en base 12 ; le système duodécimal était en vigueur. Il y avait 12 tribus d'Israël, 12 lunes dans l'année, 12 heures de jour, 12 heures de nuit, 12 travaux d'Hercule, 12 signes du zodiaques... et le 13 pouvait donc porter malheur puisqu'il suivait ce 12 parfait.

    Depuis cette crainte se transmet de générations en générations. On appelle les gens qui ont peur du 13 les triscaidécaphobes. D'autres personnes ont réagi à l'inverse et sont persuadées que le 13 porte bonheur. Ce jour-là, de grands tirages de lotos et autres jeux de hasards ont lieu.

    Un autre chiffre qui fait réagir, c'est le 4. il y a des avis inverses selon les personnes et les lieux. Pour les Japonais par exemple, on raconte que le nombre 4 se prononce comme le mot qui signifie "mort" et que le 4 est donc maléfique. A l'inverse, pour les chercheurs de trèfles, ce sont les trèfles à 4 feuilles qui porteraient bonheur.

    Il existe plein d'autres superstitions. L'une d'entre elle consiste à croire qu'il est dangereux de passer sous une échelle. Cette superstition viendrait du fait que l'échelle posée sur le sol et appuyée contre le mur forme un triangle. Le triangle est une forme géométrique qui a été souvent vue comme une forme sacrée. Franchir ce triangle serait sacrilège et porterait malheur.

    D'autres superstitions encore font appel aux matières: toucher du bois, pour conjurer le mauvais sort, avoir un fer à cheval, pour avoir du fer sous la main, briser du verre blanc, pour avoir autant d'années de bonheur que de morceaux de verre...


    2 commentaires
  • *la légende *de la femme cygne*

    <div-container align="center"></div-container> <div-container></div-container>La Femme-cygne est une légende qui raconte l'histoire d'un jeune homme célibataire qui vole une robe magique faite de plumes de cygne à une femme-cygne pour qu'elle ne puisse pas s'envoler et l'épouse. Dans la plupart des versions, elle porte ses enfants ; lorsque les enfants grandissent, ils chantent une chanson sur l'endroit où leur père à caché la robe de leur mère ; dans d'autre versions, un des enfants demande à sa mère pourquoi elle pleure continuellement et trouve la robe, ou ils lui révèlent le secret d'une autre façon. La femme-cygne reprend immédiatement sa robe et disparaît d'où elle vient. Bien que cela l'attriste d'abandonner ses enfants, elle ne les emporte pas avec elle. Dans certaines versions, le mari parvient à la retrouver seulement après une quête ardue ; le plus souvent, l'impossibilité de la retrouver est suffisamment claire qu'il ne s'y tente même pas.

    Ce thème est assez répandu dans les récits folkloriques à travers le monde, bien que les animaux puissent varier. Le récit italien parle plutôt d'une fille-colombe. Il y a les selkies celtes qui prennent la forme de phoques. Un conte croate met en vedette une louve. En Afrique, le même thème est exploité avec des femmes-buffles. En Asie orientale, des contes similaires utilisent des femmes qui se transforment en différentes espèces d'oiseaux. Au Japon, c'est la robe d'un ange qui est volée.

     

    <div-container align="center"></div-container> <div-container></div-container>
    *****************************************************************************************************************


    votre commentaire

  • Une légende raconte
    Qu’au commencement du monde
    Quand Dieu décida de créer la femme
    Il trouva qu’il avait épuisé
    Tous les matériaux solides dans l’homme
    Et qu’il ne disposait plus de rien
    Devant ce dilemme
    Et après une profonde méditation
    Voilà ce qu’il fit :
    Il prit la rondeur de la lune
    Les suaves courbes des vagues
    La tendre adhérence du liseron
    Le tremblant mouvement des feuilles
    La sveltesse du palmier
    La teinte délicate des fleurs
    L’amoureux regard du cerf
    La joie du rayon de soleil et ,
    La timidité de la tourterelle
    La vanité du paon
    La suavité de la plume de cygne
    Ainsi que la dureté du diamant
    La douceur de la colombe
    La cruauté du tigre
    L’ardeur du feu
    Et la froideur de la neige
    Il mélangea ces ingrédients
    Si divers, forma la femme
    Et le donna à l’homme
    Une semaine après l’homme vint et lui dit :
    "Seigneur, la créature que tu m’as donné
    Me rends malheureux
    Elle requière toute mon attention
    Me laisse jamais seul
    Bavarde intensément
    Pleur sans motif
    S’amuse à me faire souffrir
    Et je viens te la rendre car
    Je ne veux plus vivre avec elle"
    "Bien" répondit Dieu et il prit la femme
    Une semaine plus tard, l’homme revient et lui dit :
    "Seigneur, je me sens très seul
    Depuis que je t’ai rendu la créature
    Que tu as faite pour moi
    Elle chantait
    Et jouait à mon coté
    Elle me regardait
    Avec tendresse
    Et son regard était une caresse
    Elle riait et son rire était musique
    Elle était belle à voir
    Et douce au toucher
    Rends-la-moi car
    Je ne peux pas vivre sans elle"





    votre commentaire
  • La fille aux cheveux d'or ou la légende de l'été indien

       

    Mudjekewis avait neuf frères et ensemble, ils vainquirent l'ours géant. Aussi reçurent-ils en présent la ceinture sacrée qui contient de quoi vivre heureux sa vie durant. Le mérite de cet exploit, chacun le savait, revenait à Mudjekewis, le plus jeune des 10 garçons, et ce fut à lui qu'échut le pouvoir de gouverner les vents d'Ouest.

     

    On l'appela dès lors Kabeyun, père des airs, et il entreprit de distribuer une part de sa puissance à chacun de ses fils. A Wabun, il donna l'Est; à Shawondasee, le Sud, et à Kabiboonoka, le Nord. Seul Manabozho n'eut rien de cet héritage, car sa naissance avait été illégitime.

     

    C'est pourquoi, plus tard, blessé par cette injustice, il partit en guerre contre son père jusqu'à ce que celui-ci, accédant sa requête, consente à lui céder une part de la souveraineté de Kabiboonoka, en lui abandonnant le privilège de règner sur les vents du Nord-Ouest.

     

    Shawondasee, maître du Sud, révéla très jeune son indolence. C'était, bien avant l'âge, un vieillard poussif peu enclin à voyager, les yeux mi-clos toujours fixés droit devant lui. Souvent il soupirait lorsque venait l'automne, dispensant généreusement cet air doux qui gagne alors tout le Nord du pays.

     

    Mais un jour, il aperçut au loin, courant gracieusement à travers les plaines du Nord, une jeune fille aux cheveux d'or. Elle était très belle et il en tomba aussitôt amoureux. Ses boucles surtout, blondes comme le blé mûr, avaient conquis son coeur. Cependant sa paresse naturelle l'emporta sur sa passion et, à l'aube du matin, il la surprit enveloppée d'une nuée blanche comme neige. Il en conçut aussitôt une vive jalousie, persuadé que son frère Kabiboonoka s'était mis en tête de la lui ravir en lui offrant l'une de ses écharpes immaculées dont les vents du Nord ont coutume de se parer aux approches de l'hiver.

     

    Pour briser le sortilège de son rival, Shawondasee, haletant, souffla comme il put et, le ciel fut envahi de fils d'argent. Mais lorsque ceux-ci se dissipèrent, la belle avait disparu et, avec elle les mille graines finement ailées qui couronnent les fleurs du pissenlit de la prairie!

     

    Il est un âge pour tout, dit le sage, et Shawondasee avait eu le tort de se croire assez jeune pour être aimé de la fille aux cheveux d'or. En la poursuivant de ses soupirs alanguis, il n'avait fait que précipiter sa fuite.

     

    Depuis, croyant chaque automne revoir l'objet de sa flamme courir dans les prés comme au premier jour, le vieillard continue de haleter doucement au souvenir d'un bonheur inaccessible, gratifiant les terres du Nord, à la veille de l'hiver, de cette saison à nulle part pareille et que les hommes blancs appellent l'été indien.


    votre commentaire
  •  

     

    3p2devsu

     

     

     

     

    1136281440_small

     

     

     

    Les elfes aquatiques

    Les elfes aquatiques forment une puissante société, beaucoup plus unis et uniforme dans le mode de pensé que leurs cousins de la surface. Malheureusement, en raison de contraintes physiques, les elfes aquatiques entretiennent très peu de contacts avec les autres elfes. À l'origine, il est for probable que les elfes aquatiques aient vécu à l'extérieur de l'eau tout comme leur cousins. En effet, les elfes aquatiques possèdent des poumons permettant de respirer l'air mais, pour la grande majorité des elfes aquatiques, cet organe n'est jamais utilisé. Cependant, il est possible pour un elfe aquatique de s'adapter à la surface en passant quelques jours à la surface de l'eau en utiliser à la fois les branchies et les poumons. Dès que l'adaptation des poumons est achevé, l'elfe peut respirer normalement en ayant cependant la contraire de manquer rapidement de souffle s'il effectue des activités physiques intenses( tel que racler un champ, creuser un trou, courir sur une longue distance...). Les poumons n'ayant jamais servi depuis la naissance et ayant traversé plusieurs générations d'elfes aquatiques, il est normal que ces derniers ne soient pas aussi efficace que les poumons de la surface.

    Pour la vaste majorité de la plèbe aquatique, les habitants de la surface sont soit inconnu, soit si éloigné des préoccupations journalières que ce sujet n'est pratiquement jamais abordé. Les seules exceptions sont celles où il la surface est beaucoup plus présente comme en dessous des trajets maritimes des bateaux, des îles ou des côtes. Les elfes aquatiques ne sont pas un peuple technologiquement développé, au même titre que les habitants de la surface. Certains elfes aquatiques parviennent à maîtriser l'art de la magie mais disposent de ressources relativement limité pour développer des sorts aquatiques et souvent, les sorts de la surfaces se retrouvent inutilisable dans un environnement aquatique. De même que la confections d'objets à partir de matière malléable est pratiquement impossible, la seule solution étant de sculpter les objets.

    Bien que les elfes aquatique souffre de plusieurs maux, l'espoir n'est pas vain et plusieurs elfes plus talentueux et doués travaillent à l'amélioration du sort de leurs congénères. Ce sont ces elfes qui entretiennent le plus de liens avec la surface, y faisant de périodiques visites dans l'espoir d'y trouver de nouvelles solutions ou techniques pouvant être appliqués sous la surface de l'eau.

     

     

    vneyn26d

     

    Traits raciaux :+2 Con, -2 Cha. Sous la surface de l'eau, tout particulièrement dans les océans, la vie, sous plusieurs égards y est beaucoup plus difficile. Aussi, les elfes aquatiques doivent posséder une très bonne constitution. Dans le même ordre d'idée, le charisme ne leur est pas d'une très grande utilité !

    Taille moyenne, aucun ajustement en ce qui a trait à leur taille.

    Vitesse de base 30

    Immunisé aux sorts de sommeil ou tout sort ayant un effet similaire.

    Vision nocturnes : Les elfes aquatiques peuvent autant voir le jour que la nuit d'ailleurs ceci se répercute grandement sur leur cycle de vie qui est complètement déconnecté du mouvement des astres. Ils dorment généralement durant des périodes de trois ou quatre heures au maximum et dès qu'ils se réveillent peuvent vaquer à leurs occupation pour une durée allant de 12 à 17 heures.

    Arme compétente : Ils utilisent des javelots( adaptés pour " glisser " dans l'eau) en grande quantité ainsi que les dagues. Pour ces armes, ils reçoivent un bonus de 2 aux jets pour toucher et 1 aux dégâts. Les armes de trop grande envergures ne leur sont d'aucune utilisé par contres toutes les petites armes de mêlées( utilisables dans l'eau) sont susceptible d'être utilisés mis à part les armes contondantes

    Bonus racial de 2 pour les compétences suivantes : Se cacher et natation( même si cette compétence peut sembler aussi naturelle que marcher pour les êtres de la surface, natation possède une certaine utilité dans les courants marins très puissants !). Le talent elfique de détection des portes secrète existe aussi chez les elfes aquatiques puisque ceux-ci construisent des architectures susceptibles de posséder des portes secrètes.

    Langue automatiques : Très peu d'elfes aquatiques des océans parlent le Fïndart. À la place, ils ont leur propre langage( parlé de la plupart des elfes aquatiques) : le Ugathia. L'étymologie de plusieurs des mots de l'Ugathia provient du Fïndart. Les elfes aquatiques vivant dans les lacs et mers intérieurs ainsi que près des côtes parlent un peu plus couramment le Fïndart bien que la langue prédominante soit l'Ugathia.

    Classe favorisée: Combattant.

     

    658834876

     

     

    737103875


    votre commentaire
  • <script type="text/javascript" defer="65535"></script>

    Légende de la licorne

     LA  LEGENDE  DE LA LICORNE 

     

    Hebergeur d'images 

     

     

     

    Hebergeur d'images
    Connaissez-vous cette légende?
    Ou aimeriez-vous l'apprendre?
    Comment sont nées les licornes?
    Ont-elles vraiment cette forme?
    Hebergeur d'images
    Deux chevaux s'aimant tendrement
    Galopaient vers l'horizon gaiement
    Cherchant un coin charmant
    Pour abriter leurs amours ardents.
    Hebergeur d'images
    Dieu dans son céleste firmament
    Vit ces glorieux chevaux blancs
    Décida de récompenser cet amour
    En leur donnant de beaux atours.
    Hebergeur d'images


    Pour l'aider il appela la fée Morgane
    Lui demandant ainsi qu'à Diane
    Un parement les distinguant
    Des autres chevaux blancs.


    Hebergeur d'images


    Sur leur front, une corne d'ensorcellement
    Licorne sera leur nom maintenant
    Seule la beauté et la pureté
    Pourrait les approcher, les toucher

    .
    Hebergeur d'images


    En voyant ces bêtes, des insensés
    Voulurent les dompter ou les tuer
    Vite le Créateur Divin intervient
    Et en fit de petits êtres lilliputiens


    Hebergeur d'images


    Avec vos coeurs d'enfants pleins de fraîcheur
    Regardez derrière les petites fleurs
    Voyez les licornes montées par les fées


    4 commentaires
  • Connais-tu l'histoire des sorcières de Salem?
    Nous sommes en 1692, à Salem, petite colonie rurale des États-Unis. Le pasteur Samuel Parris ramène chez lui une esclave nommée Tituba. Tituba connaît l'obeah, un culte magique des Antilles. Elle en parle aux enfants et aux domestiques des villageois. Bientôt, des jeunes filles tombent malades. Elles entrent en transe: elles s'énervent et se roulent par terre. "La main du Diable est sur elles", dit le médecin.
    Samuel Parris découvre les activités de Tituba. Aussitôt, elle est arrêtée avec deux autres femmes. Devant le tribunal, les jeunes filles accusent ces femmes. Elles disent que le double de l'une ou l'autre des femmes les mord et les pince!
    C'est le début d'une chasse aux sorcières qui durera un an. De nombreuses autres femmes sont accusées. Pour prouver qu'il s'agit bel et bien de sorcières, les jeunes filles simulent des crises durant les procès.
    En juin, elles ont accusé plus de 100 personnes. Elles exagèrent de plus en plus. Certaines accusent leurs parents, des juges et même l'épouse du gouverneur! Celui-ci, à son retour d'un voyage au Canada, apprend enfin ce qui s'est passé. Il met un terme aux activités du tribunal et accorde une amnistie aux derniers accusés. En un an, 200 "sorcières" ont été arrêtées et 20 ont été exécutées.


    votre commentaire
  • La légende des Sorcières

    <div-decorator1></div-decorator1> <div-decorator1></div-decorator1> <div-decorator2></div-decorator2> <div-decorator2></div-decorator2>

     

    Bien contre Mal

    Il y a bien longtemps de celà, l'inconnu, les phénomènes de la nature, les prémonitions effrayaient le commun des gens. D'aucun(e)s furent affublé du nom de sorcier(e)s.

    La Question Inquisitrice

    C'était aussi l'époque où pour un oui on un non, l'on vous dénonçait comme sorcière.

    Le malheureux ou la malheureuse était alors soumise à "La Question" dont il avait une chance minuscule d'échapper au bûcher.

    Ces temps sont, fort heureusement, bien révolus depuis le XVIIIème siècle.

    Mais déjà, au XVIIème siècle,
    pour démystifier cette triste période,
    des légendes naissent comme celle de:
    Marie Wolf,
    la sorcière de Riquewihr,
    la bienfaitrice.


    Georgette, une des réalisations de la boutique Légende des Sorcières

    Apparaissent aussi des Lutins, Fées et Farfadets, Trolls, Dragons et autres Créatures tantôt menaçantes, fantastiques, malicieuses ...

    60870ad6dee77e08c61601bfc0121b6c.jpg

    On raconte, qu'au XVIIème siècle,
    une jeune habitante de Riquewihr, qui répondait au nom de Marie Wolf, vivait heureuse auprès de son fiancé. Son bonheur s'enfuit avec l'arrivée de la Guerre qui les sépara.

    Son fiancé, soldat, fut tué. Marie décida de vivre recluse, tant son chagrin fut profond, avec pour seule compagnie son chat noir.

    3eb76a64ed768f03561a85d572c841f1.jpg

    Les villageois l'appelèrent alors la sorcière. Un soir qu'elle se promenait sur les remparts de la ville assiégée, les ennemis furent terrorisés par ses longs sanglots qu'accompagnaient les miaulements de son chat noir et s'enfuirent, pris de panique.

    d6c3e5335540b9106079eb2b8b699c5b.jpg

    Les Riquewihriens la déclarèrent Bienfaitrice et Gardienne de la Ville. L'histoire se répandit dans toute la région et depuis, chaque habitant, pour se protéger du mal, accroche près d'une fenêtre, une sorcière orientée vers l'extérieur, symbolisant Marie Wol


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique