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Par PRALINES1 le 18 Juin 2009 à 00:13
La sirène de l'Île D'Amour
Vers l'an 1550, une famille indienne de six enfants, cinq fils et une fille, vivait près de cet îlot.
Blessé dans son orgueil parce que son frère fut choisi comme futur chef, " Aigle Courageux " avait quitté sa tribu en emmenant avec lui " Eau Limpide " qui devint sa femme. Juste avant qu'ils partent, le sorcier leva les bras au ciel et prononça une malédiction qui leur arriverait à eux ou à un de leurs futurs enfants.
Isolés près de l'île d'Amour, " Aigle Courageux " et " Eau Limpide " vivaient assez bien. Leurs cinq fils grandissaient sagement et apprenaient à chasser et à pêcher. Toute la famille fut très heureuse de la naissance d'une petite fille qui devint vite le bonheur de tous. Elle était très belle, gentille, toujours de bonne humeur et chantait admirablement bien. L'eau la fascinait particulièrement. Elle passait des heures à jouer sur le bord de la mer et à parler avec elle. L'eau était sa compagne de jeu.
Avec le temps, les cinq frères devinrent des adultes et " Gerbe d'Écume ", une très belle adolescente. Elle nageait merveilleusement bien.
Un jour, alors que l'un de ses frères la regardait nager, elle disparut dans un tourbillon au bout de l'île d'Amours. Il avertit ses frères et tous les cinq partirent pour essayer de la sauver. Ils avaient beau plonger et replonger, il n'y avait aucune trace de leur sœur adorée.
Alors qu'ils revenaient le cœur brisé par la perte de " Gerbe d'Écume ", l'un d'eux s'écria : " C'est la malédiction ! " Pour la malheureuse famille, c'était l'accomplissement du sort que leur avait jeté le sorcier il y avait longtemps.
Plusieurs années plus tard, " Source Limpide " mourut, les fils se marièrent et " Aigle Courageux ", seul et inconsolable, allait au bout de l'île d'Amour à tous les jours en pensant à sa fille. Un bon matin, alors qu'il marchait sur le bord de l'île à marée basse, il entendit au travers des vagues un chant de sirène qui ressemblait au chant de " Gerbe d'Écume "
(Auteur inconnu). Merci Micky de m'avoir fait parvenir cette légende
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Par PRALINES1 le 18 Juin 2009 à 00:02
Le chant des sirènes
Paroles: Robert, Amélie Nothomb. Musique: Mathieu Saladin 2002 "Celle qui tue"
© Ed. Arapao
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Dans les flots de nos larmes
Où nous vivons en peine
Âmes sœurs, âmes seules
Nous sommes les sirènes
Loin des rivages, des hommes
L'eau salée nous enchaîne
Entends-tu ma voix qui monte?
Vers toi qui ne vois
Que celles qui ont des jambes
Entends-tu ma voix qui monte?
Vers toi qui regardes
A la place d'écouter
Ne vois pas mes écailles de poisson
Si jolies
Mais qui ne te plaisent pas
Écoute le chant des sirènes
Écoute le chant des sirènes pour toi
Écoute le chant des sirènes
Écoute le chant des sirènes
C'est ma voix
Entends-tu les jambes de ma voix
Qui courent vers toi
Et se nouent autour de toi?
Entends-tu les jambes de ma voix
Qui dansent pour toi
Et te garde au creux de moi?
Ressens-tu l'étreinte de ma voix
Longue voix vêtue de bas de soie?
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Par PRALINES1 le 18 Juin 2009 à 00:00
Il existe deux sortes de sirènes. Ces plus belles créatures du monde sont faites à la ressemblance d'une femme jusqu'au nombril. Les unes ont la partie inférieure du corps qui ressemble à celle d'un oiseau. Les autres ont la partie inférieure du corps qui ressemble à celle d'un poisson.
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Par PRALINES1 le 17 Juin 2009 à 23:59
Voici un aotre article trouvé sur cette légende.
Les sirènes sont les démons de la Mer de la mythologie grecque. C'étaient des genres d'oiseaux à tête de femme qui attiraient les voyageurs par leur chant merveilleux, ou leur musique ; ils s'échouaient alors sur des écueils et elles les dévoraient. On dit qu'elles vivaient dans les îles proches de la Sicile. Plus tard, on a représenté les Sirènes avec une queue de poisson. Ulysse dans son voyage, fait boucher les oreilles de ses marins et se fait attacher au mât afin de pouvoir entendre le chant des sirènes tout en y résistant. Orphée ose rivaliser avec elles. A la fin, dépitées, elles se jettent à la mer et disparaissent pour toujours. C'est sûrement suite à cet "incident" qu'on a représenté les sirènes comme des femmes à queue de poisson.
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