• L'influence de la Lune

    L'influence de la Lune
    Pour réaliser vos rituels il est important de tenir compte des cycles de la lune car celle-ci influe sur les effets de vos rituels.

    ¤¤¤ Lune croissante ¤¤¤
    Toutes les invocations positives, amour, richesse, prospérité, guérison, chance, désir sexuel, accroissement des biens matériels, obtention d'un emploi, changements.

    ¤¤¤ Pleine Lune ¤¤¤
    Toutes les invocations de magie blanche, accroître les dons psychiques, accroître les facultés extra-sensorielles, favorise les invocations des déités lunaires et aux esprits, accroître la spiritualité, fertilité, transformation, rêves prophétiques.

    ¤¤¤ Lune décroissante ¤¤¤
    Toutes les invocations pour éliminer les influences négatives, rompre avec les mauvaises habitudes, perdre du poids, se débarasser de personnes à l'influence négative, conjurer de mauvais sorts, exorcisme et bannissement.

    ¤¤¤ Pleine Lune ¤¤¤
    magie noire, attire les démons (evitez toutefois de pratiquer ce genre de magie!!!)

    Aucun rituel de magie blanche ne peut-être efficace lors d'une nuit sans Lune. Il vaut mieux s'abstenir d'invoquer les énergies ces soirs-là, car elles apportent plus de mal que de bien

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  • Toad-Witch 

    Dans le folklore anglais, c’est un genre particulier de sorcière auto initiée. Les Toad-Witch également nommé(e)s « Homme-crapaud » ou « Femmes-crapaud » étaient puissants et craints, notamment en raison de leurs capacités à tout épier et à jeter le mauvais œil. Les Toad-Witch avaient pouvoir sur les chevaux, les cochons, les hommes ayant pouvoir sur les femmes et réciproquement. Etre une Toad-Witch était dangereux, l’on encourait le risque de devenir fou petit à petit, à cause des immenses pouvoirs surnaturels, et de mourir de mort violente.

    Des récits sur les Toad-Witch ont été transmis à travers la tradition oral, et furent publiés en Angleterre à l’orée du XXème siècle. Dans sa chronique parue en 1901, Tillez Baldrey of Huntingtoft, une Toad Witch auto-proclamée raconta comment elle avait acquis ses pouvoirs.
    Baldrey attrapa un crapaud calamite, (Ndt : En anglais Natter-Jack, en latin Bufo calamita variété devenue rare aujourd’hui) l’enfouit dans son giron et attendit qu’il pourrisse jusqu’à la colonne vertébrale. Ensuite elle retira les os au dessus d’un cours d’eau, à minuit. Les forces surnaturels l’élevèrent au dessus de l’eau, et elle s’initia elle-même en disant : « Maintenant Tu es Une Sorcière ». Ainsi Baldrey fût investie du pouvoir de surveiller et lier les animaux comme les hommes, de tuer sans maladie, de voir dans le noir comme un animal et de conduire dans la boue là où les autres véhicules se seraient embourbés.

    Baldrey raconte que son mari, Dola, s’enfuit avec une autre femme, Neoma Cason, et qu’ils partirent vivre dans un village situé à 16 miles de distance. Par des procédés magiques, elle l’obligea à retourner vers elle en marchant à reculons tout le long du chemin. D’après certaines informations, ceci à été reporté par quatre personnes.
    Ensuite, Baldrey voulut prendre sa revanche sur sa rivale. Elle prit une mèche des cheveux de Cason et les brûla durant le rituel destiné à la maudire. Quand elle apprit ceci, Carson fût terrifiée et demanda de l’aide à un Sorcier pour annuler la malédiction. Il répondit que pour cela, elle devait se procurer les cendres de ses cheveux, ce qui, bien sûr, était impossible. Condamnée, ses forces déclinèrent et elle mourût peu de temps après. Baldrey accompagnât ses funérailles et jeta les cendres de ses cheveux sur le cercueil tandis qu’il était descendu en terre.

    Ils y avaient d’autres moyens pour les aspirants Toad-Witches de récupérer les os du crapaud pour l’initiation. Les crapaud morts étaient placés dans une fourmilière pour être nettoyés jusqu’aux os. Les os étaient ensuite repris et jeté à minuit dans une eau coulant du nord au sud. Ceux qui remontaient le courant en flottant étaient magiques. (le nord est traditionnellement associé aux Arts Noirs). Ces os étaient souvent portés en amulettes et enveloppés dans des sachets, spécialement pour les charmes agissant sur les chevaux.

    L’acquisition du pouvoir d’épier et de tuer requérait parfois neuf crapauds qu’on laissait mourir, attachés tous ensemble avec des ficelles. Le pouvoir était acquis quand les crapauds avaient été brûlés.


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  • Cône de pouvoir

    Dans la sorcellerie contemporaine, le terme de cône de pouvoir désigne une manière de désigner la concentration et la direction d’une spirale d’énergie psychique au cours des célébrations et des rituels. Gerald Gardner décrit le cône de pouvoir comme issu de l’Ancienne Tradition des sorcières, il est plus probable qu’il en emprunta le concept aux multiples sources qu’il utilisa pour construire ses rituels et son livre des ombres. La concentration d’énergies psychiques est inséparable de la pratique de la magie, et un certain nombre de méthodes ont été employées depuis les temps anciens.

    Selon Gardner, les sorcières invoquent le cône de pouvoir en dansant en cercle autour d’un feu ou d’une chandelle, puis elles se tiennent par les mains et se précipitent vers le feu en criant, jusqu’à épuisement ou bien jusqu’à ce que l’une d’elles s’évanouisse, signe que l’énergie a été complètement expulsée. Les sorcières contemporaines utilisent une variante de cette méthode : elles chantent et dansent en tournant en rond autour d’un cercle, en augmentant le tempo. Elles sont parfois accompagnées par un tambour et/ou emploient la visualisation, en visualisant l’énergie remonter le long de la colonne vertébrale, depuis le chakra racine jusqu’au chakra frontal. L’énergie projetée stagne au dessus du groupe en formant un cône, il est parfois visible pour ceux qui en ont la capacité. L’énergie est contrôlée par la grande prêtresse ou le grand prêtre qui détermine à quel moment tout le groupe doit s’arrêter en même temps pour une efficacité optimale.

    La forme du cône à une signification particulière pour les sorcières. Dans certaines régions de la Syrie, le cône était l’emblème d’Astarté, déesse phénicienne de la fertilité, de la maternité et de la guerre. Les chapeaux de forme conique sont traditionnellement associés aux magiciens et aux sorcières dans les légendes et le folklore. Le cône est ici associé avec le cercle, qui symbolise le soleil, mais aussi l’unité, l’éternité et le cycle des renaissances. Avec le triangle associé avec les éléments et les pyramides, ils représentent l’ascension spirituelle de toutes choses. Le triangle représente également le nombre trois, signe de l’énergie créatrice et associée à la triple déesse.

    Toujours d’après Gardner, pendant la seconde guerre mondiale, des sorcières britanniques utilisèrent les cônes de pouvoir durant des rituels pour maudire Hitler et l’empêcher d’envahir le pays. Le rituel aurait eu lieu pour Lammas, en août 1940 à New Forest (NdT : une zone rurale située au sud-ouest du Hampshire), et il réunit des centaines de sorcières, dont la vieille Dorothy Clutterbuck. Un autre rituel eu lieu, mais cette fois dans la forêt de Ashdown (NdT : Cette forêt est située dans le Sussex, au sud-est de l’Angleterre). Ce rituel était un canular, mis en scène pour berner Hitler. Gardner n’y participa pas.


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  • Les Bouteilles de Sorcière

     

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    Dans les magies du folklore, c’est un charme utilisé pour se protéger des esprits malveillants, des attaques magiques et neutraliser les sorts jetés par les sorcières. Les bouteilles de sorcière étaient répandues dans l’Angleterre Elisabéthaine, spécialement dans l’Est Anglia, où les superstitions et les croyances concernant les sorcières était très fortes, si bien que leurs usages ont perduré même à l’époque moderne. Traditionnellement, la bouteille de sorcière était une petite fiole de trois inches de hauteur [NdT : un peu moins d’une dizaine de centimètre] enverre bleu ou verdâtre. Certaines étaient plus grandes et de formes rondes, et mesuraient jusqu’à neuf inches de hauteur [NdT : presque 25 cm de haut]; celles-ci étaient appelées des Greybeards ou encore Bellarmines. Bellarmines était à la base un inquisiteur catholique qui persécutait les protestants et que ses victimes avaient surnommé « le Démon ».
    Les Greybeards et les Bellarmines étaient en grès brun ou gris, vernissées avec du sel et ornée de visages barbus. L’on croyait en effet que la présence de ces deux ingrédients faisait fuir le mal.
    Ces bouteilles faisaient l’objet d’une préparation magique réalisée par une sorcière ou un rebouteux/se qui la remplissait avec l’urine de la victime, des cheveux ou des rognures d’ongles, ou encore des fils rouges provenant de « pièges à lutins ». Lorsque la bouteille était enterrée sous l’âtre de la maison ou sous le seuil, le sort était rompu et la sorcière censée souffrir mille maux. Quelques fois, la bouteille était jetée au feu, quand elle explosait, le sort se brisait et la sorcière censée être tuée. Si de l’urine était employée comme contre-charme, alors la sorcière se retrouvait incapable d’uriner, se retrouvant ainsi victime de son maléfice. Les bouteilles de sorcière étaient surtout utilisées pour annuler des mauvais sorts.

    Ces bouteilles étaient accrochées au coin du feu comme charmes empêchant les sorcières d’atterrir et d’entrer dans la maison. Elles étaient aussi accrochées près des portes et des fenêtres, emplâtrées dans le mur au dessus des linteaux de portes pour en protéger le seuil. Les commerces, les chemins de fer, les ponts et les autres constructions étaient souvent pourvus de bouteilles de sorcières comme moyen de prévention contre les coups du sorts, le mauvais œil et les catastrophes.
    Dans son livre Sadducimus Triumphatus or Full and Plain Evidence Concerning Witches and Apparitions (1681), Joseph Glanvil décrit les méthodes de fabrication d’une bouteille de sorcière. D’après lui, la femme de William Brearly, un pasteur et membre du Christ’s College de Cambridge, tomba malade quand le couple prit pension dans le comté du Suffolk. Elle était hantée par la vision d’une apparition prenant la forme d’un oiseau. Un guérisseur prescrivit une bouteille de sorcière contenant son urine, des épingles, des aiguilles et des rognures d’ongles. La bouteille fut fermée et placée à coté du feu. Le mal partit, et à ce qu’il paraît, le sorcier qui l’avait envoûté mourût.

    Le grand rebouteux anglais James Murrell était célèbre pour ses bouteilles de sorcière. Certaines étaient même faites en acier. Selon la tradition, le forgeron du coin eu de telles difficultés à forger la première bouteille en fer pour Murrell que celui-ci dû réciter un charme afin de parvenir à la forgée. Une autre anecdote raconte qu’un garçon se servit de cette première bouteille pour fabriquer de la bière sans savoir à quoi elle servait. Quand il apprit que c’était une bouteille de sorcière, il rentra chez lui tellement terrorisé qu’il en mourût.
    Comme Murrell conseillait souvent à ses clients de faire chauffer ses bouteilles de sorcière dans le feu, le forgeron décida de creuser une petite ouverture au sommet de la bouteille afin que la vapeur puisse s’échapper et que la bouteille ne puisse pas exploser et blesser mortellement les pauvres gens. La vapeur sifflante évoqua à Murrell les esprits des sorcières qui luttaient en s’échappant de la bouteille.


    Voici un exemple typique de l’action d’une bouteille de sorcière fabriqué par Murrell, autour des années 1850 : Une jeune femme découvrit dans une grange une vieille Gitane en train de boire la bière laissé par les moissonneurs. Quand elle ordonna à la vieille femme de sortir, celle-ci la maudit. Presque immédiatement, la fille commença à avoir des crises de démences, se prenant alternativement pour un chien ou un chat.
    Sa famille consulta Murrell, qui prépara une bouteille de sorcière contenant l’urine de la jeune fille, du sang, des herbes et des épingles. La bouteille fût mise au feu dans une chambre que l’on avait obscurcie, toutes portes closes. La famille avait été avertie de l’obligation de garder le silence, sans quoi le contre-sort ne fonctionnerait pas. Bientôt des bruits de pas se firent entendre derrière la porte, suivit de coups furieux. Une voix de femme disait "Pour l’amour de Dieu, arrêtez, vous êtes en train de me tuer". Instantanément, la bouteille de sorcière explosa, la voix mourût et la jeune fille recouvra ses forces. Au matin, le corps de la vieille gitane fût découvert gravement brûlé sur une route à trois milles de là.


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  • ABSINTHE  : Composée, plante vivace qui peut vivre pendant dix ans, l’absinthe est réputée depuis des temps très anciens pour ses vertus médicinales. Elle est en effet citée dans un papyrus égyptien datant de 16OO av J.C. La liqueur d’absinthe était une boisson très en vogue du XIXème siècle. Mais elle contient une huile essentielle qui à forte dose, est un poison dont l’abus provoque de graves intoxications.   ACHE : Ombellifère originaire de la Méditerranée. C’est l’ancêtre de nos céleris, cultivé dans les jardins à partir du XVIème siècle. Racine,  tige, feuilles sont utilisées pour parfumer un potage, une sauce, un ragoût.
    AIL : Liliacée originaire des steppes d’Asie Centrale. Aujourd’hui condiment, il fut utilisé autrefois pour ses vertus stimulantes.  Préventif de la maladie de la peste au Moyen Age.   ANETH : Ombellifère originaire d’Asie Mineure. Plante aromatique dont l’odeur rappelle celle du fenouil. Les graines d’aneth sont utilisées comme condiment dans les choucro utes et les marinades, sauces de poissons.
    ANGELIQUE : Ombellifère originaire de Syrie et naturalisée en Europe. C’est l’archange Raphaël  qui aurait fait connaître l’angélique aux hommes. Elle éloignait la peste, neutralisait l’effet des venins, prolongeait la durée de la vie. Toute la plante est utilisée, des semences à la racine. Aliment et condiment des peuples du Nord, les tiges tendres sont consommées crues ou bouillies ; cuites sous la cendre ou confites au vinaigre, elles terminent le repas du Lapon. Les chinois quant à eux, les utilisent pour nuancer l’âcreté du gingembre. Dans certaines régions, les feuilles remplacent le céleri. En France, elle est plutôt du domaine des confiseurs et des liquoristes.   ARROCHE : Chenopodiacée originaire du sud ouest européen et ouest asiatique. Très ancien légume, probablement cultivé par les peuplades néolithiques. Pratiquement abandonnée de nos jours, l’arroche avait les emplois culinaire de l’épinard
    BOURRACHE  : Borraginacée originaire d’Afrique. Cultivée jadis, on ne la trouve plus qu’à l’état sauvage. Les feuilles sont employées comme condiment dans une vinaigrette, une mayonnaise, un potage. Nos grand-mères confisaient les fleurs.   CAMOMILLE : Composée originaire d’Asie Mineure. Plante médicinale. Avec le tilleul et la menthe, la camomille est une des plantes médicinales les plus utilisées en France.
    CIBOULETTE : Liliacée indigène dans tout le Nord de l’Europe et de l’Asie. Voisine de l’oignon.   ECHALOTE : Liliacée, variété de l’oignon créée au début de l’ère chrétienne et cultivée depuis.
    ESTRAGON : Composée originaire de Russie méridionale et de Sibérie. Pour relever un vinaigre, des cornichons. Exquis avec un poisson, une salade, un poulet rôti. L’estragon se conserve bien séché.   MARJOLAINE : Labiée indigène aux Indes, en Egypte, en Arabie. Connue en Europe depuis le Moyen Age, la marjolaine est le condiment des saucisses et des rôtis. Les Compagnons glissaient cette plante dans le revers d’une de leurs bottes avant de partir à l’aventure.
    MELISSE : Labiée. Habitat Europe méridionale. Plante mellifère, son nom dérive du grec mélissa, qui signifie abeille. Elle entre dans la composition de la Chartreuse, de la Bénédictine et de l’eau de mélisse des Carmes. S’emploie également comme condiment dans une salade, un ragoût, une soupe ; pour faire mariner un poisson à chair grasse. Utilisée pour « atténuer les quintes de mauvaise humeur des jeunes filles ».   MENTHE : Labiée. Certainement originaire d’Europe. Il existe près de 12OO  variétés de menthes. Les feuilles empêchent le lait de cailler. Digestive en infusion, la feuille de menthe est aussi un excellent épice ; hachée, elle s’associe très bien aux concombres, aux betteraves en salade.
    MOLENE-BOUILLON BLANC : Scrofulariacée. Commun en Europe Centrale et du Sud, remonte jusqu’au nord de l’Angleterre et en Scandinavie. Les fleurs sont utilisées pour faire des sirops et infusions. Autrefois les feuilles étaient utilisées pour fabriquer des mèches de lampes à huile.   ONAGRE :  Oenothéracée originaire de l’Amérique du Nord. La racine charnue et rougeâtre est parfois consommée comme celle des salsifis. Un vieux proverbe germanique prétend qu’une livre de racines nourrit mieux qu’un quintal de bœuf ! Les caractères génétiques particuliers de l’onagre l’ont rendu utile dans la recherche des lois de l’hérédité. On a récemment découvert que les semences d’onagre contiennent  une huile comestible intéressante pour l’homme, si bien que l’on commence à en entreprendre la culture.
    OSEILLE : Polygonacée. L’oseille est indigène en Europe et Cultivée seulement depuis le Moyen Age. L’oseille entre dans de nombreuses préparations culinaires (potage d’herbes, plat d’épinards, omelette, poisson).   PERSIL  : Ombellifère. Certainement originaire de l’est méditerranéen. Cultivé jusqu’au Moyen Age uniquement pour l’emploi médicinal.  Aujourd’hui fine herbe obligatoire des cuisines.
    POIREAU PERPETUEL : Liliacée. Le poireau et l’ail d’Orient ont sans doute la même origine mais la culture a conduit le développement de l’un en caïeux et de l’autre en feuilles. Le goût de ce poireau est plus doux que celui des variétés courantes. On plante les bulbilles d’octobre à mars et vers la fin du printemps, on cueille les feuilles en les coupant, laisser l’oignon en terre. Le bulbe produit alors de nouvelles feuilles et ainsi de suite. Sur le bulbe, naissent des bulbilles que l’on peut repiquer.   RAIFORT : Crucifère originaire d’Europe Orientale et de Sibérie. La racine réduite en pâte sert de moutarde. Elle corse un bouillon de pot au feu, un plat de gibier.
    SARRIETTE  : Labiée. A les mêmes usages que le thym. C’est le condiment des féculents (fèves, haricots, lentilles, pois). Elle entre dans la composition de la Chartreuse verte.   SAUGE  : Labiée. Premier des condiments occidentaux avant l’arrivée des épices. Employée pour parfumer les viandes de porc,  oie rôtie bourrée de sauge, pâtés de lapin. Elle assainit les armoires et protège le linge.
    SERPOLET  : Labiée. Se trouve dans les rocailles ensoleillées au bord des chemins. A les mêmes usages que le thym qu’il remplace avec plus de finesse.   TANAISIE  : Composée. Vivace, commune sur les talus, les bords de routes et les terrains vagues. Séchée , pendue au plafond, elle chasse les mouches, dans la niche du chien, elle préserve des puces. Utilisée également  en cuisine dans les omelettes et puddings.
    THYM : Labiée originaire du bassin méditerranéen. Utilisé en cuisine son usage correspond à celui de la sarriette et du serpolet. Peut être utilisé en infusion. C’est un antiseptique, cette propriété est reconnue depuis longtemps et les égyptiens l’utilisaient pour embaumer leurs morts.   VERVEINE OFFICINALE : Verbénacée. Les Celtes et les Germains l’employaient dans leurs pratiques de magie et de sorcellerie c’était une plante guérisseuse. « Herbe magique, elle était utilisée par les sorciers pour prévoir le futur et pronostiquer les résultats des tournois.

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