• Pégase était un cheval ailé, plus proche du pur-sang arabe que du cheval de trait ! Ses membres étaient fins et élégants, sa robe blanche comme les neiges éternelles, son crin argenté luisant au soleil couchant, ses ailes telles celles du cygne, son vol aussi harmonieux que celui de l'aigle. Ses sabots d'airain martelaient le sol sec. Quelle belle créature mais impossible à capturer, Bellérophon, prince de Corinthe, suivit les conseils d'un devin afin de dompter le cheval Pégase : il passa une nuit dans le temple de la déesse Athéna.Pendant qu'il dormait, la déesse lui apparut avec une bride en or et lui dit qu'elle lui permettrait d'attraper Pégase.
    Quand il se réveilla, Bellérophon trouva la bride en or et put ainsi capturer et dompter le cheval ailé.Pégase se révéla ensuite d'un grand secours pour Bellérophon, lorsqu'il affronta les Amazones et la Chimère (monstre soufflant des flammes, fils de Typhon).Mais Bellérophon fut perdu par son propre orgueil : alors qu'il cherchait à s'envoler vers l'Olympe pour se joindre aux dieux, le cheval le jeta à terre, laissant Bellérophon errer comme un malheureux et haï par les dieux. Pégase trouva refuge dans les stalles olympiennes et fut chargé par Zeus de lui apporter sa foudre et ses éclairs. De plus, dans l'antiquité tardive, le col de Pégase évoquait celui de l'âme immortelle


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  • Vers l'Ouest, dirige ton regard,
    Adresse ta prière dans cette direction
    Car là se tiennent tes parents.

    Vers le Nord, dirige ton regard,
    Adresse ta prière dans cette direction
    Car là se tiennent tes parents.

    Vers l'Est, dirige ton regard,
    Adresse ta prière dans cette direction
    Car là se tiennent tes parents.

    Vers le Sud, dirige ton regard,
    Adresse ta prière dans cette direction
    Car là se tiennent tes parents.

    Vers le Zénith, dirige ton regard,
    Adresse ta prière vers le ciel
    Car là se tiennent tes parents.

    Vers le Nadir, dirige ton regard,
    Adresse ta prière vers les entrailles de la Terre
    Car là se tiennent tes parents.


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  • je me suis allongée, sous le tipi
    mes yeux fatigués se sont lentement fermés
    mon corps s'est doucement détendu, les muscles relachés
    mon esprit était libéré, mon ame apaisée

    une douce chaleur dans mon tipi
    une douce lumière qui doucement faiblit

    et puis comme venu de très loin
    une image s'est imposée à mon esprit serein
    un magnifique guerrier
    qui en chantant, dansait
    de longues plumes sur ses bras
    il symbolisait un aigle, dans la lumière
    il était beau, il était fier

    je ne sais pas si je dormais ou pas
    qu'importe ma fois

    ce guerrier à dansé encore un moment
    puis il a soudainement disparut
    sur ma couche étendue
    je me suis simplement dit,
    que sa danse et son chant
    m'ont apporté une sérénité
    que je n'avais plus depuis bien longtemps
    et finalement je me suis endormie
    un sourire sur le coin de mes lèvres, car mes pensées sont allées vers lui
    vers ce magnifique guerrier, que dans mes rèves je voulais retrouver.......


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  • Magie Blanche

    Par le Sud, gardien du Feu…
    Par l’Ouest, gardien de l’Eau…
    Par l’Est, gardien de l’Air…
    Par le Nord, gardien de la Terre…
    Que le Soleil darde ses rayons !
    Que la Pluie fredonne sa chanson !
    Que la Lune argente les frondaisons !
    Que le Vent m’envoie ses frissons !
    Encens cannelle, gui et graines de carvi
    Lentement brûlent sur les charbons ardents,
    J’en appelle à Adonis, Eventus, Thor et Odin,
    A Neptune, Cytèle, Eira, Astaré, Janis et Istari,
    Par les sept jours de la semaine,
    Par les sept couleurs de l’arc-en-ciel,
    Par les sept oraisons de grandes vertus,
    Par les sept notes de la gamme,
    J’allume une à une les bougies, bleues
    Blanches, violettes et or allégeant les fardeaux,
    Purifiant l’esprit et le corps, parfumant l’air ;
    Que leur lumière me guide au ciel et sur la terre !

    J’en appelle aux douze signes du zodiaque,
    Que leurs énergies me transcendent !
    J’en appelle aux douze mois de l’année,
    Que leurs vibrations montent et descendent !

    Trois fois trois, je récite ma neuvaine
    Qui monte de mon cœur jusqu’au ciel…
    J’en appelle aux mémoires anciennes, à Kensu,
    Et qu’Eve renouvelle en moi la vraie femme.


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  • *JE SUIS UNE SORCIERE*
     
    Depuis mes nuages j'aperçois le monde
    Tourmenté par l'orage d'un mal qui gronde
    J'apprête une potion que l'on dit mystique
    Dans mon chaudron des ingrédients magiques

    Sur mon balai je vole je virevolte
    Toujours affairée, je sème et je récolte
    Les graines du bonheur, les jette aux quatrre vents
    Allant toucher le coeur, de chacun des passants

    Qu'il fasse jour ou nuit, mes mots s'en vont au vent
    Pour chasser l'ennui encourager les amants
    Qu'ils voient toujours que le bon côté des choses
    Si un amour s'enfuit, des nouvelles éclosent

    Sur mon balai, je lance sur mon passage
    Du sable enchanté, pour chasser les nuages
    A tous coeurs chagrins, leur redonner l'espoir
    Et que chaque matin au bonheur il faut y croire

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