• histoire vraie : lorsque j'étais dans les études, il y avait dans ma classe une fille qui avait des pouvoirs paranormaux !... elle ne s'en vantait pas car ça lui faisait peur et lorsqu'elle avait des visions (qui toutes se réalisaient !), ça lui causait des maux de tête terribles... On ne pouvait pas la toucher quand ça lui arrivait et en plus elle faisait, en contrepartie de ses visions, des crises d'épilepsie !... Une fois, poussée par les élèves, le dernier jour des cours, elle a tiré les cartes à une de nos profs et lui a prédit qu'elle aurait des problèmes avec l'administration alors que tout allait bien à ce moment là.... Quelques mois après, on a appris que cette prof divorçait de son mari et se disputait la garde de leurs enfants au tribunal !... Cette fille a aussi déjà fait des séances de spiritisme à l'internat devant un groupe d'élèves qui, visiblement n'y croyaient pas.... Jusqu'au moment où les dits élèves ont senti quelque chose qui les frôlait lorsqu'ils se tenaient la main autour de la table !!! ils ont alors pris peur !!!! suite à cette séance, la personne a dû s'allonger car avait envie de dormir et très gros mal de tête !

    Cette personne avait également des dons magnétiques dans les mains et pouvait arrêter un mal de tête en mettant ses mains sur le front de la personne qui en souffrait...

    voilà pour l'histoire vraie...  catandcie


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  • plantes utilisé dans la magie

     

     

     

     

    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Acacia :
    On brule cette plante pendant les séances de méditation pour capter plus facilement les messages émanants du monde invisible

    Achillée millefeuilles :
    Tonique et donne courage pr les combats tout en préservant les blessures. Favorise la divination

    Ail :
    Traditionnellement on en suspend à sa porte ou en porte suso contre le mauvais oeil. Purifie le sang

    Basilic :
    Cest l'herbe sacrée de la joie et de la gaieté dont le parfum agréable assure la protection dans la maison.

    Bouleau blanc :
    L'écorce de bouleau sert à fabriquer des talismns, à inscrire des incantations en vue de sortilèges amoureux. Son huile est utilisée comme remède por les reins.

    Camomille romaine :
    Bonne pour le foi et les affections de peau. Elle empêche les cauchemars.

    Cannelle de chine :
    Utilisée comme encens tonique.

    Graines de céleri :
    Brûlées avec de l'encens, elles augmenteraient les pouvoirs psychiques.

    Coriandre :
    Les graines de coriandre sont portées parfois dans un sachet comme amulette contre les maux de dents et les crampes. La coriandre serais aphrodisiaque.

    Fougère :
    Mettre une fugère sur sa fenêtre protégerait des mauvais sorts.

    Gui :
    C'est la plante scrée de druides, et un rituel agiue précédait toujours sa cueilette. Propriétés nombreuses, toniques, aphrodisiaques, immunitaires.

    Jasmin :
    Il protège les sentiments amoureux. Comme encens, il inspirerait des rêves divinatoires.

    Laurier :
    Une feuille de laurier passée sur une feuille de papir apporte l'inspirationà celui qui veut écrire. Un bouquet de laurier offert à une mariée lui assurera une union heureuse et durable.

    Lotus des indes :
    Plante de l'éternelle jeunesse et de la dévotion. Rajeunissement, rafraichit et amaigrissante. Purification.

    Mandragor :
    La racine des sorcières. Liée au pouvoir de voler dans les airs. Peut-être à cause de ses effets hallucinogènes. Engendre la torpeur. Utilsée dans les rites de fécondité.

    Marguerite :
    Les marguerites prédisposeraient au retour d'affection.

    Nénuphar blanc :
    Une variété servait autrefois dans la préparation de "l'onguent des sorcières",
    remède générique pour tous les maux. On dit que les fleurs de nénuphar augmentent la sensualité.


    Romarin :
    Améliorerait la mémoire. "Placé sous un oreiller, il attire la chance; porté sur soi, il favorise le bonheur."

    Rose :
    La rose est la fleur par excellence pour tous les rituels d'amour et on la retrouvera souvent à l'intérieur du cercle magique. Associée à la perfection, à la séduction et à la sensualité. Les pétales de roses à la fois rouges et jaunes auraient un effet sur la fécondité.

    Thym :
    Lorsqu'on le brûle sur du charbon, dans la maison, on garantit la bonne santé à tous les occupants; en porter sur soi nous apporte de voir nos qualités reconnues.

    Verveine :
    Appelée aussi plante d'amour, elle sera utilisée dans tous les rituels favorisant la présence d'une personne aimée ou même pour attirer à soi une personne désiré.

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  • les plantes en magie

    les plantes en magie
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Les plantes sont très utilisées en magie et dans beaucoup de rituels sous forme d'infusions, de décoctions, et bien d'autres, mais elles peuvent aussi être utilisées pour la confection de grigris, de sachets ou d'enveloppes magiques. Lorsqu'on utilise des plantes en magie, c'est surtout en fonction de leurs correspondances magiques et du but à atteindre qu'elles sont choisies.

    De nos jours la plupart des gens habitent en ville, il devient difficile d'avoir un coin de jardin ou de forêt où l'on puisse cueillir ses herbes ! Il faut donc s'adapter au monde moderne et acheter ses herbes dans une herboristerie ou plus simplement au supermarché pour les plantes aromatiques les plus communes ( thym, ail, cannelle, muscade, ... ).

    Mais attention si vous les achetez en supermarché essayez de les acheter les plus fraîches possibles ou en tout cas de bonne qualité ( surtout pour les condiments séchés ) !

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    Les Herbes employées par les Sorcières

     

     


    Le folklore sur les fleurs, plantes et arbres est un vaste sujet qui nécessiterait un livre en lui-même afin de l'explorer pleinement. L’ancien mot utilisé pour la connaissance des propriétés secrètes des herbes est "Wort Cunning" et cela a toujours été une étude particulière pour les sorcières.

    La connaissance des herbes possède deux aspects. Le premier traité des propriétés médicinales effectives des herbes, le second concerne leurs propriétés occultes, cachés, magiques. Les Sorcières utilisent les deux aspects de ce savoir dans leur Art.

    Nous pouvons noter que le mot "pharmacie" est dérivé du grec ancien "pharmakeia" et ce mot ne signifie pas seulement 'composition de drogues médicinales', mais aussi 'fabrication de potions magiques et de philtres'. La Déesse grecque patronne de la Sorcellerie était Hécate, la triple déesse de la lune, et de nombreuses allusions classiques lui sont faites, ainsi qu'à Médée et Circé, les célèbres sorcières des légendes grecques (voir Hécate). La seconde Idylle de Théocrite appelée Pharmaceutria ne traite pas des médecines innocentes mais, selon les mots de Montague Summers, "donne une image vivante et réaliste de la sorcellerie grecque" (the Geography of Witchcraft, Kegan Paul, Londres, 1927).

    La sorcière et son chaudron bouillonnant, donc remontent évidemment aux temps pré-chrétiens ; si le contenu du chaudron peut être soit bénéfique, soit maléfique. Les herbes étaient étudiées également dans l’Egypte Ancienne ; et avant Hécate était Isis, la Dame Egyptienne de la Lune et Maîtresse de la Magie. Le célèbre Papyrus Ebers, qui a été trouvé enterré avec une momie dans la Nécropole de Thèbes, contient un grand nombre de recettes à base de plantes ; et les simples qu’il prescrit incluent quelques espèces d’herbes toujours utilisées par les herboristes et sorcières d’aujourd’hui. Parmi celles-ci : les oignons, les grenades, les pavots, la gentiane, les scilles, le sureau, la menthe, l’aloès, la myrrhe et le colchique.

    Des 400 simples (c’est à dire herbes simples) utilisés par le grand Docteur grec, Hippocrate, la moitié reste employer aujourd’hui. Mais l’autorité en la matière d’où proviennent la plupart des connaissances des sorcières et magiciens étaient le médecin grec du premier siècle Dioscorides, qui compila les toutes premières herbes existantes et qui continua a être utilisées pendant 1600 ans ; et l’Histoire Naturelle de Pline, qui recueillit un curieux savoir et de qui Cornelius Agrippa, au XVIème siècle emprunta beaucoup au matériel de « Magie Naturelle » dans sa « Philosophie Occulte » (Cologne, 1533 ; traduction anglaise publiée à Londres en 1651).

    Dans des centres tels que celui de Tolède en Espagne, là où la culture Européenne et Islamique se mélangea, la médecine était étudiée tout autant que la magie, l’alchimie et l’astrologie ; et ainsi la connaissance des drogues orientales comme le haschisch, dérivé de la plante Marijuana, était ajoutée à l’étude transmis à travers les anciens écrivains classiques. Le savoir de ces choses se diffusa graduellement et filtra jusqu’à la sorcière de village, se mélangeant aux traditions dérivées des sources Nordiques, Celtiques et pré-Celtiques.

    La sorcière de village des temps anciens était herboriste, jeteuse de sort, interprète des rêves, guérisseuse, sage-femme et psychologue, tout en même temps. A l’époque où la science médicale actuelle, sans parler du National Health Service (ndlt : son équivalent en France -> Ministère de la Santé), était inconnue, elle était pratiquement la seule ressource pour les pauvres gens des endroits les plus reculés du pays. En fait, en ces temps-là lorsque la chirurgie était encore à l’état de petite enfance et les brûlures et les saignées étaient à l’ordre du jour parmi les hommes de la médecine orthodoxe, la sorcière du village, avec ses breuvages de simples et sa psychologie pratique, tuait bien moins que les docteurs.

    Toutes les sorcières, cependant, ne vivaient pas dans l’ombre. Une célèbre dame nommée Trotula, de Sarlerne en Italie, devint connue à travers toute l’Europe pour ses remèdes et recettes. Son nom est à l’origine de l’expression ‘Dame Trot’ ou ‘Old Trot’, donné à la sorcière.

    Le moment, où les herbes magiques et médicinales étaient récoltés, était régi par l’astrologie et particulièrement par les phases de la lune. La lune croissante était la période pour la magie constructive et la lune décroissante, celle pour la magie destructive et de bannissement ; mais les herbes étaient généralement supposées atteindre leur vertu maximale pour le bien si récoltées à la pleine lune. D'autre part, les herbes utilisées dans de sombres buts seraient récoltées lorsque la lune est noire ; et les sorcières de Shakespeare, dans Macbeth, employaient « des racines de ciguë ramassées dans le noir ».

    Les herbes qui ont un effet narcotique et soporifique ont été particulièrement associées à la sorcellerie, à cause de leur usage dans la composition du baume des sorcières. En dehors de cela, on a donné à un nombre d’herbes des noms populaires qui montrent leur association aux sorcières.

    Par exemple, le grand Bouillon Blanc (Verbascum thapsus), qui pousse dans les haies avec des fleurs jaunes et de grandes pointes duveteuses, était appelée (ndlt : en anglais) « Hag-taper ». Le vieux mot anglais haegtesse signifie ‘sorcière’ ; ainsi Hag-taper veut dire « la chandelle de la sorcière ». Les digitales sont parfois appelées (ndlt : toujours dans les pays anglo-saxons) « les cloches des sorcières » et la petite pervenche est connue comme étant la violette des sorciers.

    Cette jolie fleur bleue est la Provinsa d’Albertus Magnus, l’auteur réputé du livre magique appelé « Le Grand Albert » (de nombreuses éditions ; qui ont été imprimé à Paris en 1885 et édité par Marius Descrepe, est considéré comme étant le plus authentique). Il l’appelle la plus puissante fleur pour produire l’amour. Une autre magnifique fleur à la réputation semblable est l’orchidée sauvage, appelée satyrion. La plante reçu ce nom à cause de ses racines qui ressemblent à une paire de testicules ; de là vient probablement sa réputation magique. Il y a un certain nombre d’orchidées sauvages qui poussent en Grande-Bretagne qui possèdent des racines de ce type.

    Le nom romantique de Circé de Paris (Circaea lutetiana) – en anglais : enchanter’s nightshade – est une autre plante qui possède une aura magique, elle pousse dans bois anglais. Ce n’est pas réellement une solanacée (nightshade en anglais), pas du tout, mais qui possède une fleur blanche ou rosée jolie et à l’allure délicate à soies crochues (ndlt : en réalité, ce sont les fruits qui possèdent de telles soies crochues et se situent juste un peu avant la base de la fleur). D’autres plantes à l’allure attrayante avec une réputation magique sont les sceaux-de-salomon, une fleur des jardins de maison de campagne, et la verveine à petites fleurs mauves, que l’on trouve souvent en train de pousser parmi de vieilles ruines.

    Sur un plan de magie protectrice, il y a le splendide Millepertuis (Hypericum perforatum), qui est utilisé pour être appelé Fuga demonum, parce qu’il bannit les mauvais esprits. Le sorbier des oiseleurs, avec ses belles baies rouges, réalise les mêmes bons offices et dissout les mauvais sorts. C’était le grand sortilège Gaélique contre tout ensorcellement. Une vieille salutation Ecossaise était, « Que la paix soit ici et le sorbier ».

    La liste des propriétés magiques attribuées aux fleurs, arbres et racines peut être développée indéfiniment. Une importante ramification de la connaissance des herbes était la fabrication de ‘suffumigations’ ou encens magiques, qui attireraient les esprits et causeraient leur apparition.

    Des siècles de savoir mystique ont été accumulés autour de la plante nommée mandragore. Cependant, la véritable mandragore ne pousse pas à l’état sauvage en Grande-Bretagne ; donc la plante utilisée par les sorcières dans un but similaire, qui est la fabrication de figures magiques en forme de petit homme ou femme, est la racine de bryone noire ou blanche.

    Du fait de la croyance qu’elles ont en la magie des nombres, les sorcières aiment utiliser soit trois, soit sept, soit neuf herbes dans la composition de leurs charmes ou sortilèges. Ces nombres, depuis des temps immémoriaux, possèdent de puissantes propriétés occultes.

    L’armoise commune (Artemesia vulgaris) était appelée par les herboristes de l’ancien temps Mater Herbarum, « la Mère des Herbes », à cause de ses qualités prééminentes. Elle était particulièrement associée à la Déesse Diane et les images des vieux herbiers La montrent tenant une gerbe de cette plante. Le dos de ses feuilles sont argentées et on la considère généralement régie par la lune, bien que Culpeper l’attribue à Vénus. Une infusion à base d’armoise est sensée aider au développement de la clairvoyance. Les jeunes feuilles sont utilisées, sucrées avec du miel ; mais, bien sûr l’herbe a été cueillie à la pleine lune pour être plus efficaces.

    En tant qu’herbe des sorcières, l’armoise apparaît souvent dans les recettes magiques. Par exemple, le miroir magique était parfois oint de son jus et l’herbe était mélangée à l’encens en train de brûler lorsque le miroir était utilisé

     

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  • L’Aigremoine apaise les troubles liés aux intestins, le souffrant n’extériorise jamais ses

     problèmes

     

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    Le Tremble apaise les troubles du sommeil et de la sexualité, le souffrant est de tempérament inquiet et bilieux.

    L’Hêtre soulage les hémorroïdes, le souffrant est intransigeant vis-à-vis des autres.

    La Centaurée soulage les douleurs aux vertèbres, le souffrant se laisse influencer par le jugement des autres.

    Le Plumbago soulage les insomnies, le souffrant a des difficultés à s’affirmer vis-à-vis des autres.

    Le Prunus soulage la vésicule biliaire, le souffrant souffre de son impulsivité.

    Le Bourgeon de Marronnier soulage les migraines, le souffrant souffre d’entêtement.

    La Chicorée soulage les maux de gorge, le souffrant est possessif à l’excès.

    La Clématite soulage les troubles alimentaires, le souffrant souffre d’une imagination trop fertile.

    Le Pommier sauvage soulage les nausées, le souffrant est insatisfait de lui même.

    L’Orme soulage les vertiges, le souffrant ne sait plus ou donner de la tête.

    La Gentiane soulage les états dépressifs, le souffrant sombre dans le découragement.

    L’Ajonc soulage du stress, le souffrant sombre dans le pessimisme.

    La Bruyère soulage les angines, le souffrant est bavard.

    Le Houx soulage problèmes de peau, le souffrant a une colère douloureuse en lui.

    Le Chèvrefeuille soulage douleurs respiratoires, le souffrant est nostalgique du passé.

    Le Charme soulage les problèmes de tension, le souffrant se sent épuisé sans raison.

    L’Impatience soulage les articulations, le souffrant s’emporte facilement.

    La Mélèze soulage les reins, le souffrant n’arrive pas à se réaliser.

    Le Mimule soulage des douleurs d’estomac, le souffrant est introverti.

    La Moutarde soulage des brûlures, le souffrant est dépressif.

    Le Chêne soulage les fatigues, le souffrant n’écoute pas assez son corps.

    L’Olivier soulage les nausées, le souffrant est épuisé et ne sait pas se ménager.

    Le Pin soulage les troubles de l’élimination, le souffrant est intransigeant vis-à-vis de lui même.

    Le Marronnier rouge soulage les diarrhées, le souffrant est trop protecteur de son entourage.

    L’Hélianthème soulage les désordres émotionnels, le souffrant ne se libère pas d’un choc.

    L’Eau de Roche soulage les troubles de l’élimination, le souffrant est intransigeant vis-à-vis de lui même.

    L’Alène soulage les maux du transport, le souffrant est confronté à un choix difficile.

    L’Étoile de Bethléem soulage les nausées, le souffrant ne se libère pas d’une épreuve.

    Le Marronnier blanc soulage le système nerveux, le souffrant est préoccupé et anxieux.

    Le Châtaigner soulage douleurs d’estomac, le souffrant est épuisé par les épreuves.

    La Verveine soulage les troubles du sommeil, le souffrant est épuisé par ses agitations mentales.

    La Vigne soulage les troubles de la circulation, le souffrant est étouffant vis-à-vis de l’entourage.

    Le Noyer soulage les douleurs articulaires, le souffrant se sent seul et rejeter par l’entourage.

    La Violette soulage les crampes, le souffrant est trop fier et obstiné.

    L’Avoine soulage les troubles de la sexualité, le souffrant est confronté à un choix difficile.

    L’Églantine soulage les fatigues, le souffrant réfléchit trop.

    Le Saule soulage les troubles alimentaires, le souffrant est trop dans le jugement et l’interprétation.

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