• La légende de l’indien Solitaire !

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    Parmi les arbres un enfant regardait d’autres enfants jouez mais ils n’avaient pas la même couleur de peau que lui.

    Le temps passant, il se fit surprendre par c’est même jeunes. Les insultes fusèrent puis à l’aide de filet il le traîne dans la ville l’enfant subis et ne dit rien. Les bonnes gens applaudissaient et rigolaient de ce monstre a peau rouge. L’enfant subis des jours entiers brimades et peu de quoi vivre. Laser de cette enfant monstre ils l’oublièrent loin de leur conscience dans le désert loin de t’est bois.

    L’enfant survécu se rafraîchit à l’eau des cactus, mangeant tous ce qu’il pouvait trouver. Il grandit solitaire mais un jour rencontra des frères rouges, ils vécus avec eux s’étais des pacifistes Partis à la chasse il entendit le tonnerre mais le ciel étais clair poins d’éclairs. Au loin une fumée s’éleva les charognards tournoyais signe de mort. Une fois encore il se retrouva encore solitaire sa femme et son fils gisaient à terre les blancs étaient passé drainant la désolation derrière eux.

    Regardant le ciel il demanda le pourquoi de tout cela envers lui. Il ne reçut aucunes réponses, repris le chemin mais cette fois si vers c’est bois natals mais il ne connaissait plus le chemin son passé s’était devenu trop lointain. Mais il fini par le trouvé le temps l’avait vieillis tellement que fatigué Hermite il est devenu.

    Un jour son âme s’éleva vers les cieux et Manitou l’appela à lui et lui dit. Un jour tu as prié les dieux tu as posé une question et nous ne t’avons répondu, voici le pourquoi ! T’es yeux ton âme ont connu tellement de vilenies que ton cœur est resté pur tu as étouffé la haine en toi, Tu as pris le long chemin de la Solitude semant la sagesse derrière toi, pourquoi alors te répondre nous savions que tu avais trouvé la vérité, tu es l’image vivante de ton peuple ayant subis humiliations, massacres, tu étais leur leurs voix et leurs souvenirs maintenant tu es leur esprit, regarde en bas c’est un nouvel enfant subissant les mêmes malheurs que toi mais il le faut que soient ainsi car un jour les nations amérindiennes disparaîtrons de la terre pour être réunis ici libre dans le ciel aussi voici montrant du doigt des anciens assis, voici ta place au conseil des sages a fin de guider t’est frères.

    Au loin sa femme et son enfant après lui avoir sourit montèrent prés de lui leurs tepee il avait retrouvé sa raison de vivre à nouveau. S’essayant au pré des anciens il pris le calumet qu’on lui tendis sa vie d’errance étais finie les nations amérindiennes ne subirai plus la loi des blancs ils ne gagneraient jamais en ce paradis les sages devenus invisibles cachait la porte de leurs territoires la fumée des sages les guidait vers Manitou qui les accueillaient. Ainsi vécurent il pour l’éternité.

    Ecrit et dit par Confédérate Cherokee.

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  • Un jour,les oiseaux se réunirent afin de désigner lequel d'entre eux volait le plus haut

    Le concours commenca,certains s'élevèrent trés vite,mais furent vite épuisés et dépassés par les plus puissants.

    Puis vint l'aigle,et il les surpassa tous.Il allait fièrement proclamer partout sa victoire,lorsque quittant le dos du rapace

    le minuscule oiseau qui était jusque là caché,une linotte grise,prit à son tour son essor,

    sans que nul n'ait deviné le subterfuge,et parvint sans peine beaucoup plus haut.

    Quand l'assemblée tint son conseil pour rendre la sentence,elle s'accorda pour attribuer la victoire à l'aigle.

    En effet il était d'entre tous,celui qui c'était le plus rapproché du soleil et le seul de surcroît à avoir réussi cet exploit en portant sur son dos la linotte...

    Nul à compter de ce jour,ne douta que l'aigle était à la fois le plus courageux et le plus fort des guerriers.

    C'est pourquoi ses plumes sont le signe le plus respectable qu'un chef valeureux puisse s'enorgueillir de porter.

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  • Smaug le Doré - Le Dernier des Grands Dragon

    Ci-dessus trois représentations tirées des aventures de JRR Tolkien

    Au coeur du Mont Solitaire, sur un lit d'or et de joyaux, reposait jadis l'un des plus redoutables dragons que la Terre du Milieu ait jamais connu : Smaug le Doré. Son surnom lui venait de l'éclat rouge et or de ses épaisses écailles, aussi solides qu'une armure de Mithril (ou "maître-argent", métal fictif de l'univers de Tolkien décrit dans Le Seigneur des anneaux. C'est un métal précieux extrait des mines de la Moria par les Nains).
    Le fabuleux univers inventé par JRR Tolkien compte plusieurs dragons, mais Smaug le Doré est sans aucun doute le plus célèbre. C'est dans le roman "Bilbo le Hobbit" qu'on le croise. Bilbo Baggins, paisible hobbit qui déteste l'aventure comme tous ses semblables, est un jour entraîné dans une épopée fantastique par treize nains accompagnés du magicien Gandalf. Leur objectif : récupérer le prodigieux trésor volé jadis au peuple nain par le cruel dragon ...
    C'est un orgueil démesuré qui causa la perte de cette créature intelligente mais vaniteuse : flatté par le malicieux hobbit, Smaug lui révéla son unique point faible sans y prendre garde ; une toute petite zone dans la région du coeur qui restait à découvert.

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  • Dragon de Beowulf - Le Dernier Combat du Roi

    Ci-dessus en bas "Le courageux Beowulf tua bien des monstres au cours de sa vie" (in Mythes et légendes britanniques, illustration de M.I. Ebbutt, 1910), à droite son dernier combat avec le dragon.

    Il y a bien longtemps, un féroce dragon menaçait le royaume du souverain de Scanie, Beowulf (provient de l'expression bee-wolf, "le loup des abeilles", une métaphore pour désigner l'ours : un fier guerrier goth assurément aussi courageux et puissant qu'un ours). Pour défendre son peuple et ses terres, ce courageux roi guerrier prit une ultime fois les armes et alla au-devant de sa propre fin.
    Beowulf, fils du roi de Scanie, s'illustra durant sa jeunesse dans de nombreux combats avant de succéder à son père. Arrivé à un âge avancé, il monta enfin sur le trône, pensant en avoir fini avec sa vie de guerrier. Mais le sort en avait décidé autrement ... Un grand dragon vivait à proximité du palais, dans une caverne creusée au flanc d'une montagne. Un jour, un esclave s'introduisit dans sa tanière et lui vola une coupe d'or afin de racheter sa liberté. Que n'avait-il pas fait là ! Le dragon se rendit immédiatement compte de ce larcin, sortit de son antre et se précipita en fureur sur le palais royal.
    Beowulf reprit les armes pour défendre une fois encore son peuple et son royaume, et il se tint seul face au monstre déchaîné ... Leur combat long et sans pitié n'eut que des vaincus : le grand Beowulf parvint à tuer le dragon, mais il y trouva lui aussi la mort.

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