• Nous avons tous imaginé dans notre enfance les sorcières chevauchant leur balai.
    En Europe le balai et la sorcière étaient entourés de magie dans la pensée religieuse et populaire. On les accusait même de voler sur leur manche à balai, une preuve de leur alliance avec les "puissances des ténébres". Si une telle chose étaient possible cela semblait surnaturel et donc diabolique contrairement aux "charmes" de guérison ou d'amour" que les sorcières concoctaient rééllement.

    Aujourd'hui le balai est utilisé dans la pratique de la Wicca, c'est un outil important. Par exemple, pour commencer un rituel on l'utilisera afin de nettoyer légèrement l'espace sacré. Il ne s'agit pas d'un balayage pour enlever la poussière mais plutôt d'un balayage afin de repousser hors de l'espace de rituel tout ce qu'il y a de négatifs; il n'est pas nécessaire que les brindilles du balai touchent le sol. : C'est plutôt un nettoyage symbolique.

    Puisqu'il est purificateur, le balai est lié à l'élément Eau, et de par sa forme phallique il est souvent rattaché au Dieu.
    On l'utilise pour les charmes se rattachant à l'eau, à l'amour ou encore aux mécanismes mentaux.

    Si vous souhaitez fabriquer vous-même votre balai, voici une formule que nos ancêtres utilisaient (certains les utilisent encore puisque ma grand-mère, "sorcière" elle aussi, utilise cette méthode): un bâton de frêne pour le manche, des brindilles de rameaux et comme liens on utilisera des rameaux d'osier.
    Vous pouvez orner par la suite le manche de symboles ou de ruban.
    Pour ceux qui ne veulent pas le fabriquer ni même en acheter un, vous pouvez très bien le remplacer par une branche de n'importe quel arbre ou buisson (n'oubliez pas de remercier l'arbre pour ce sacrifice).

    Rangez votre balai derrière la porte de la maison après l'avoir utilisé, il servira ainsi à éloigner les mauvaises "ondes" qui pourraient y entrer.


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  • Comme tout le monde le sait, les sorcières d'autrefois inscrivaient dans leur grimoire des ingrédients qui semblait, pour une personne non initiée à la sorcellerie d'antan, des plus farfelus. N'avez-vous pas vous-même lorsque vous étiez enfant, composé des recettes de sorcellerie avec des ailes de chauve-souris, de la bave de crapaud, etc... ?

    Il s'agissait en fait tout simplement pour la sorcière de "crypter" son grimoire" afin que personne, à par elle seule, puisse le lire. Voilà peut-être une des explications au sujet de la "chasse aux sorcières" pendant la période moyennageuse (et même encore aujourd'hui pour certains d'entre nous, mais la pression est desormais d'un autre ordre, quoique? Ferions nous peur? Je vous laisse là répondre à cette question par vous-même).

    Bref, revenons au sujet. Pour ceux qui aimerait savoir quelle plante se cache derrière telle ou telle appelation, je vais essayer de dresser une liste que j'ai réussi à dénicher après de nombreuses recherches.
    La liste est longue et je l'étalerais sur plusieurs articles, j'espère qu'elle vous donnera envie de lire des anciens grimoires, qu'il faut je le rappelle, ne pas prendre au pied de la lettre pour certains.


    ___de A à C___

    Aile de chauve-souris => houx
    Arbre à concombre => magnolia
    Baton de jupiter => molène
    Bec d'oie => potentille
    Belle dame => belladone
    Bile humaine => sève de navet
    Blé des fourmis => chiendent
    Blé noir => sarrasin
    Bois de mai => aubépine
    Bois de vie => bois de gaiac
    Bourreau des arbre => lierre grimpant
    Bourse à berger / bourse de capucin=> bourse de pasteur
    Bouton d'or => ficaire, renoncule
    Brosse à chevaux => prêle des marais
    Buisson ardent => fraxinelle
    Caille-lait => gaillet
    Cillot => molène
    Capuche de moine / casque de jupiter => aconit
    Cassave => manioc
    Casse-pierre => renouée
    Cendrée => chélidoine
    Cervelle de chat => gomme de cerisier
    Char de Vénus => aconit
    Chasse-diable => millepertuis
    Cheveux de Vénus => capillaire
    Cheveux du diable => cuscute
    Cloche d'argent => viome
    Coeur d'aigle => absinthe
    Coeur de berger => bourse de pasteur
    Corbeille d'argent => alysse odorant
    Corail rouge => piment rouge
    Corne de licorne => hélonias
    Coudrier => noisetier
    Courrone de terre => lierre
    Crache-venin => bryone
    Crinière de lion => origan des marais
    Cumin des près => carvi


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  • Le grimoire

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    Objet absolument personnel, dépositaire de mille secrets, le grimoire doit être muni d'une bonne serrure. Si une main profane venait à l'ouvrir, tout son pouvoir disparaitrait

    Un grimoire est un livre, mais pas n'importe quel livre ! Un ouvrage absolument personnel - car chaque exemplaire est unique-, servant d'aide mémoire et contenant des recettes, des secrets, des tours de main, des façons de faire, des mystères parfaitement inaccessibles aux non-initiés.

    Ceux qui possèdent des grimoires appartiennent tous, d'une façon ou d'une autre, au monde des mystères et de la magie, et même quelquefois à la sorcellerie. Mais attention, il y a grimoire et grimoire...

    Les uns sont de simples recueils de recettes sorcières apparentés à de la superstition ou citant les moyens d'invoquer le diable.

    D'autres (les véritables grimoires, les seuls dignes de ce nom) sont réservés à des personnes assurément plus estimables que les charlatans de campagne et autres repoussantes sorcières.
    Chacun possède son exemplaire qui n'appartient qu'à lui seul. Il doit le réaliser lui-même, et encore si possible, en fabriquer le papier de ses propres mains. Chaque page doit porter un signe sacré, la couverture être protégée d'un pentacle, toutes les recettes et autres formules doivent être écrites de la main même de l'initié, à l'aide d'une plume n'ayant jamais servi auparavant et avec une encre préparée par ses soins.

    RECETTES TROUVEES DANS DES GRIMOIRES MAGIQUES

    *Pour savoir si un malade guérira ou succombera :
    Prenez un peu de lard, frottez-en la plante des pieds du patient, ensuite donnez-le à manger à un chien.
    S'il le mange, c'est signe de guérison. Sinon, c'est message de mort.

    *Pour arrêter un serpent :
    Prononcez en le voyant Osi, Osoa, Osia et il se laissera prendre.

    *Pour ne pas être blessé à la guerre :
    Gravez sur une petite plaque de zinc les mots ci-après :
    "Voyez l'épée d'Adonaï et de Geédéon".
    Cette plaque doit être taillée en forme d'étoile à sept pans. Vous la parfumerez et la placerez dans le pommeau de votre épée. Vous blesserez tous vos adversaires, quand bien même ils seraient cuirassés.

    *Contre les maléfices :
    Le fer repousse les influences occultes. Quand on craint un maléfice, prendre du fer dans sa main et se laver trois fois la tête en disant :
    "Ô Adonaï, délivre et guéris ton serviteur".
    A la troisième fois, attendre que le crâne sèche de lui-même.

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  • - LE GRIMOIRE MAUDIT DE AHRIMAN -

    Le mystérieux et légendaire grimoire de Ahriman a-t-il sombré avec le titanic ?


    Cela commence il y a fort longtemps, puisque nous sommes sans doute au IXe siècle. Où ? L’histoire ne le dit pas, mais probablement dans quelque pays enveloppé dans les brumes du nord ou de l’est. Allemagne ? Angleterre ? Hongrie peut-être, ou Pologne. En tout cas, il s’agit d’un pays qui croit aux sorcières, et qui les pourchasse avec férocité.

    Une sorcière… Comment se nommait-elle ? On l’ignore aussi. Ahriman, peut-être… Elle a été confondue, jugée, condamnée, brûlée. Brûlée en partie seulement, car quelqu’un – un autre sorcier ? – s’est approché après le supplice du bûcher auquel les restes de la sorcière, noircis par les flammes, pendaient encore.

    Cette personne décroche le corps de la femme martyrisée et emporte le cadavre, dont le visage calciné montre encore une expression terrifiante de haine et de douleur. Il l’emmène chez lui. Que veut-il en faire ? On n’ose y songer…

    Des années plus tard apparaît sur le marché un livre d’aspect sinistre, noirci comme par les flammes d’un bûcher. Quand on l’ouvre, on lit sur les premières pages parcheminées : Grimoire d’Ahriman. Les caractères sont gothiques et le texte est tout entier consacré à des recettes de magie noire. Certains disent que le livre, feuillets et couverture, est entièrement fait de peau humaine : la peau de la sorcière suppliciée. Pour l’instant, nous sommes encore au tout début du IXe siècle, car c’est le couronnement de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. Un magistrat de la ville, dit la légende, offre le volume inquiétant au nouvel empereur. Ses intentions sont-elles amicales, ou hostiles ? Quand on connaît la suite de l’histoire, on ne se pose plus la question.

    On raconte que ce livre, cadeau précieux, fut exposé plus tard dans une vitrine fermée. Mais, un matin, on eut la surprise de retrouver le grimoire sur le sol. La vitrine était brisée. Quelqu’un commente :

    Un grimoire est un livre contenant des recettes de magie
    Ce grimoire n'est pas le grimoire d'Ahriman...


    « On dirait que ce livre maudit a cherché à s’échapper, qu’il a cassé la vitrine de l’intérieur. De toute manière, la salle est hermétiquement close, et absolument personne ne peut y pénétrer pendant la nuit. »

    On juge plus prudent d’enfermer l’ouvrage noirci dans une armoire de fer. Quelques jours plus tard, celle-ci est découverte, forcée par une main inconnue : quelqu’un s’est emparé du Grimoire d’Ahriman, et uniquement de cet ouvrage. On perd ensuite la trace du livre pendant de longues années.

    Il réapparaît, un peu plus noirci encore, quand, des siècles plus tard, la maison d’un brocanteur brûle de fond en comble. Déjà, on peut se demander d’où il tenait le dangereux écrit. Et si les propriétaires successifs avaient ou non souffert de le détenir… Peut-être connaissaient-ils le mode d’emploi ? Peut-être étaient-ils, eux aussi, sorciers et nécromants, héritiers de la sorcière ?

    Nous arrivons en 1566, et c’est chez un diamantaire juif d’Amsterdam qu’on retrouve le manuscrit. Cet homme, selon la rumeur publique, possède le grimoire. Et le diamantaire, qui est du genre bavard, raconte une étrange histoire : « J’ai voulu nettoyer mon grimoire. La reliure était toute maculée de fumée. Mais à peine avais-je commencé à le frotter que le livre s’est échappé de mes mains et qu’il a littéralement plongé dans une cuve d’eau qui était devant moi. Cette eau, qui l’instant d’avant était toute fraîche, s’est mise à bouillonner… Incroyable ! ». En tout cas, le diamantaire bavard a sans doute ravivé la malédiction en parlant à tort et à travers car, un peu plus tard, un malfaiteur s’introduit chez lui, le frappe et le laisse à moitié mort. Quand il reprend ses esprits, il s’aperçoit qu’on lui a dérobé… le grimoire.

    Pendant deux siècles, le dangereux ouvrage demeure dans un oubli de bon aloi. Jusqu’au jour où, à Prague, ville de sorciers et de nécromants s’il en est, deux frères héritent du grimoire. On le sait, car ils s’en disputent la propriété et leur querelle devient publique. Ils se disputent à tel point qu’ils n’hésitent pas – nous sommes au XVIIIe siècle – à se défier en duel. Et l’un des deux frères tue l’autre. Le vainqueur emporte le manuscrit chez lui, dans la célèbre rue des Alchimistes. Le lendemain, les habitants de la rue font la chaîne et dressent des échelles pour essayer de maîtriser l’incendie qui ravage sa maison. On craint que le sinistre ne se propage à tout le quartier.

    En tout cas, le grimoire maléfique ne disparaît pas tout à fait puisqu’on en retrouve la trace au début du XXe siècle. Dans un endroit bien différent, puisqu’il s’agit rien moins que des registres de la célèbre compagnie d’assurances Lloyds.

    Un passager célèbre a éprouvé le besoin de faire assurer ses bagages avant un voyage transatlantique. Comme il est milliardaire, on peut comprendre qu’il ait des objets de valeur, des bijoux. Mais il fait assurer tout particulièrement le Grimoire d’Ahriman, qui est parvenu jusqu’à lui. Par quel truchement ? On l’ignore.
    Le milliardaire se nomme John J. Astor, et le bateau qu’il emprunte pour traverser l’Atlantique n’est autre que le Titanic, que l’on disait insubmersible…

    L’orgueilleux paquebot, heurté par un iceberg, disparaît dans les flots glacés avec 1513 passagers, Astor et son grimoire qui depuis, Dieu merci, ne s’est plus manifesté.


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  • Sortilège pour chasser la fatigue

    Sortilège pour chasser la fatigue
    <div-container></div-container> <div-container></div-container>Ce rituel est à faire lorsque vous vous sentez bien affaiblit.

    Ingrédients:
    *1 chandelle blanche
    *1 chandelle bleue pâle
    *Encens de violette

    Allumez la chandelle bleue et l'encens
    Méditez un instant visualisant une lueur bleue vous entourer
    Allumez la chandelle blanche puis dites:

    " Pouvoirs divins, à mon secours, venez
    La fatigue s'annonce, la fatigue me guette
    Gardez le sommeil, pour que je

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